. L'illustration : journal universel . jour quelle avait accueilli avec LILLUSTRATION, JOURNAL UNIVERSEL. transport (elle dovait mourir ce jour-U), mirtemiiselle Mirs l du Tiiaire-Ffançais, piur y faire justice de laudace de la sétait couverte de violettes, et à tous les printemps elle se conidienne. Mais ces nussieurs eurent le boT goût d-i sabs- parait de ces fleurs, que les partisans de la Restauration re- tinir de toute minifestition bruyante, et ils se birnèrent à gardaient comme séditieuses. On prétendit à ce sujet que accueillir silencieuseiiiinl lactrice. Cest alors que, pour se les ga
. L'illustration : journal universel . jour quelle avait accueilli avec LILLUSTRATION, JOURNAL UNIVERSEL. transport (elle dovait mourir ce jour-U), mirtemiiselle Mirs l du Tiiaire-Ffançais, piur y faire justice de laudace de la sétait couverte de violettes, et à tous les printemps elle se conidienne. Mais ces nussieurs eurent le boT goût d-i sabs- parait de ces fleurs, que les partisans de la Restauration re- tinir de toute minifestition bruyante, et ils se birnèrent à gardaient comme séditieuses. On prétendit à ce sujet que accueillir silencieuseiiiinl lactrice. Cest alors que, pour se les gardes du corps viendraient un soir en masse au parterre | venger de cette froideur, mademoiselle Mars aurait dit, en faisant allusion aux démonstrations hostiles dont on la mena-çait : « Il ny a rien de ooinnun entre Mirs et les s^ardes ducorps. )) Une des autres minies de la petite chronique et deses faiseurs, cest de rainer les gens. Il ny a peut-être pasune seule actrice un peu en vogue de nos jours que le feuil- %^irf. leton ou le fait-Paris nait mariée par passe-temps. Made-moiselle Mars néchappa point à cet inconvénient de la célé-brité ; ses bans furent publiés plusieurs fois dans les dernier lieu, les fiancés dont on la gratilia nétaient plusdes princes ni des millionnaires : lun était un jeune diplo- mate endetté, que la révolution de juillet a fait ambassadeuret pair de France; et lautre, un homme desprit, un auteurde comédies, dont elle a fait un préfet. La maladie à laquelle vient de succomber mademoiselleMars, après une douloureuse agonie, était une alîection du foie, compliquée dune irritation cérébrale. En proie ^ unviolent délire, elle se croyait encore en scène à ses derniersmoments, et elle est morte en récitant un couplet dAra-niinte. La comédie ne devait la quitter quà la dernière ex-trémité. P. B. LILLUSTRATION, JOURNAL UNIVERSEL. 57 VOrphéon est sans contredit une des institutions qui fe-ront, dans la
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