Archive image from page 112 of Dictionnaire de physiologie (1900). Dictionnaire de physiologie . dictionnairedeph04rich Year: 1900 CÅUR. 103. l'ait. M. et E. Cyon soutenaient Ãgalement que l'excitation de ces nerfs reste sans effet sur la frÃquence des battements du cÅur. Par contre, R. Wagner dÃcla- rait avoir observà à jilusieurs re- prises un ralentissement comme consÃquence d'une irritation du boutpÃripbÃriquedu sympathique. En somme, il Ãtait gÃnÃralement reconnu que ce nerf est sans in- fluence sur le cunir. Tout rÃcem- ment, Cyon (52) a enfin rÃussi à Ãtablir la cause de ces obse


Archive image from page 112 of Dictionnaire de physiologie (1900). Dictionnaire de physiologie . dictionnairedeph04rich Year: 1900 CÅUR. 103. l'ait. M. et E. Cyon soutenaient Ãgalement que l'excitation de ces nerfs reste sans effet sur la frÃquence des battements du cÅur. Par contre, R. Wagner dÃcla- rait avoir observà à jilusieurs re- prises un ralentissement comme consÃquence d'une irritation du boutpÃripbÃriquedu sympathique. En somme, il Ãtait gÃnÃralement reconnu que ce nerf est sans in- fluence sur le cunir. Tout rÃcem- ment, Cyon (52) a enfin rÃussi à Ãtablir la cause de ces observations contradictoires : il a trouvà que le nerf sympathique du cou peut en effet provoquer une accÃlÃration des battements du cÅur chaque fois que l'excitabilità des ganglions sympathiques auquel il aboutit subit une augmentation considÃ- rable, sous l'intluence soit de mo- difications pathologiques (goître, thyroïdectomie, etc.), soit de l'in- troduction dans l'organisme des substances toxiques : iode, extraits des capsules surrÃnales, etc. Ce fait implique comme consÃquence que « les ganglions sympathiques ne sont pas de simples stations de passage pour les nerfs du cÅur, mais jouent le rôle de vÃritables organes centraux qui peuvent pro- duire et influencer les excitations de ces nerfs » (b2, p. fl4). Les nerfs sympathiques des vertÃbrÃs à sang froid contiennent Ãgalement des fibres accÃlÃratrices. C'est indirectement que Schmiede- BERG (79) est arrivà à conclure que le pneumogastrique de la gre- nouille possède aussi le nerf accÃ- Gst. lÃrateur du cou (V. plus loin, p. 123). Puis , Gaskell et d'autres ont Ãtabli que ce nerf est d'origine sympathique et qu'il se joint au pneumogastrique aussitôt après sa sortie du crâne. Des Ãtudes particulières sur le narcours de ces nerfs accÃlÃrateurs chez diffÃrents vertÃbrÃs à sang froid ont Ãtà faites Fig. 14. â Nerfs ducou etducÅu


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