. Histoire naturelle des oiseaux . e teinte decendré , & celles du croupion & de laCjueue font abfolument cendrées ; la têteefl: dun olive tirant au jaune, le tour dçs■yeux blanchâtre, les pennes de ia queue& des ailes brunes bordées de gris, lefcec & ies pieds bruns, La fongueur totale de ce folitaîre efldenviron 7 pouces & demi; il a plus * Voyei les Planches enlu?ninces, n.° 3 39» (aj Cefl: la trente-deuxième §rivi de M. BrifToa, éles Oîfeûux étrangers, &c. 5 i de I 2 pouces de vol, <Sc fes aifes repliéesvont jufquaux trois quarts de la queue,qui eft compofée de douze pennes, & naque 2 p
. Histoire naturelle des oiseaux . e teinte decendré , & celles du croupion & de laCjueue font abfolument cendrées ; la têteefl: dun olive tirant au jaune, le tour dçs■yeux blanchâtre, les pennes de ia queue& des ailes brunes bordées de gris, lefcec & ies pieds bruns, La fongueur totale de ce folitaîre efldenviron 7 pouces & demi; il a plus * Voyei les Planches enlu?ninces, n.° 3 39» (aj Cefl: la trente-deuxième §rivi de M. BrifToa, éles Oîfeûux étrangers, &c. 5 i de I 2 pouces de vol, <Sc fes aifes repliéesvont jufquaux trois quarts de la queue,qui eft compofée de douze pennes, & naque 2 pouces ~ de long. Cet oifeau qui a été envoyé par M-Poivre, a tant de rapports avec le folitairede Manille, qne je (erois peu furpris quilfût reconnu dans la fuite pour nêtrequune fnnple variété dâge dans cetteefpèce, dautant quil vient des mêmescontrées, quil eil plus petit & que fescouleurs font, pour ainfi dire, moyennesentre celles du mâle & celles de Cii \ji HiJIohe Nûtiirelle OISEAUX ÉTRANGERS, Qui ont rapport aux Merles dEurope. h ^LE JAUNOIRI>u CAP DE Bonne-espérance (a). V^ E Merle dAfrique a luniforme denos merles dEurope, du noir & du jaune,& de-là fon nom de Jaunoïr; mais le noirde fon plumage eft plus brillant, &: il ades reflets qui iui donnent à certains jours\xw œil verdâtre : on ne voit du jaune, ouplutôt du roux, que fur les grandes pennesdes ailes, dont les trois premières fontterminées de brun & les fui vantes de cenoir brillant dont jai parlé ; ce mêmenoir brillant & à reflets le retrouve fur lesdeux pennes intermédiaires de la queuç * Voyci^ ks Planches enluminces, n,° 199» (a) Cefl: le merle du cap de Bonne-ejpérance, Si. fa Cinquante-deuxième grive de i\l. BrifTon , qui a le premier décrit cette efpèçe, tome II^ page j o^t des Otjeaux étrangers, &c, 5 3& fur ce qui paroît au-dehors des pennésmoyennes des ailes ; tout ce qui efl cachéde ces pennes moyennes
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