DéfenseurOuvrage religieux, politiques et littéraire . parlementmême, cest dans lespace qui sépare Saint-JamesSquare de VS^estminsler que ces factieux désirentfaire gagnera la reine dAngleterre une cause quiseroit alors perdue, non pas seulement pour le roi,mais encore pour la royauté. Le Défenseur. en faisceaux, lalderraan Wood a eu laudace de se mêler à leurs groupes, les pérorant et serrant la main à plusieurs deutreeux, v«nllA(vvvvvvvvvvvv\lVMAA/vvvvvvvvvvvv^Avvv\MA,^A/vvvvv^\vvv^Al^^vvM^^lVVV*A/vv^^ LE DEFENSEUR. ATIS. Pour éviter tout retard dans Venvoi du prnuméro du iro/siÃ
DéfenseurOuvrage religieux, politiques et littéraire . parlementmême, cest dans lespace qui sépare Saint-JamesSquare de VS^estminsler que ces factieux désirentfaire gagnera la reine dAngleterre une cause quiseroit alors perdue, non pas seulement pour le roi,mais encore pour la royauté. Le Défenseur. en faisceaux, lalderraan Wood a eu laudace de se mêler à leurs groupes, les pérorant et serrant la main à plusieurs deutreeux, v«nllA(vvvvvvvvvvvv\lVMAA/vvvvvvvvvvvv^Avvv\MA,^A/vvvvv^\vvv^Al^^vvM^^lVVV*A/vv^^ LE DEFENSEUR. ATIS. Pour éviter tout retard dans Venvoi du prnuméro du iro/sième x^olume, MM. les souscleurs sont priés de Jaire parvenir, rue de Sein^n 12, leur renouvellement avant davoir reçu letreizième numéro ou la vingt sixième livraison, qui ,complète le second volume du Défenseur. MM. les souscripteurs des départemens sontaussi priés , pour éviter toute erreur^ denvoyerleur dernière adressa imprimée. Nota. Lie premier numéro du troisième volume,ou la vingt-septième livraison^ paroîtra le 5o NÃCESSITà DE LA RELIGION DANS LES HOMMESEN PLACE. Extrait dune dissertation lue à VAcadémie desPhilareti ,à Venise, en 1808 j par xVionsejgueurle cardinal de La Luzkkne. Les lioiTimes naissent et meurent égaux; maisils ne pru\eiit pas vivre égaux : ils oui besoin dechefs, qoi maintiennent leur bociété contre eux-mêmes, et qui, leur ôtaat le pouvoir de se nuire,Tome IL 34 ( 63o ) Jes forcent à vivre entre eux clans la paix. De là naît la nécessite que quelques rois commandent. tous les autres obéissent. Je dis quelques rois ,car un seul chef ne suffit pas à régir une grandesociété. Pour exercer et maintenir son autorité, illui faut indispensablement en confier des portionsà des chefs subalternes subordonnés les uns auxautres, qui, par les différens degrés de puissancequil leur accorde, fassent passer et exÃ
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