. Nouvelles histoires sur de vieux proverbes; . dresse sur sou sé Sou lit est eu désorilre, loreillerest aux pieds, lédredou à la tète, les draps sout piles, torduseu corde et traîueut sur le sol. Marcel pousse un soupii- de satisfaction, — Oh! ce uétail (pi un eauchenuu. (Quelle chance!(Cauchemar étran<^X dans le(ju(d tout ce cpi \\ a\ail lu lui était ap[)aru, pèle-in(de, au hasard. Les aventures se préei-pitaut les uues sur les autres, saus suite, eu uu sahuigondisétrange comme les légumes daus une salade russe. Joyeux, Marcel baille, s étire, saute du lit et se met à lafenêtre. Il


. Nouvelles histoires sur de vieux proverbes; . dresse sur sou sé Sou lit est eu désorilre, loreillerest aux pieds, lédredou à la tète, les draps sout piles, torduseu corde et traîueut sur le sol. Marcel pousse un soupii- de satisfaction, — Oh! ce uétail (pi un eauchenuu. (Quelle chance!(Cauchemar étran<^X dans le(ju(d tout ce cpi \\ a\ail lu lui était ap[)aru, pèle-in(de, au hasard. Les aventures se préei-pitaut les uues sur les autres, saus suite, eu uu sahuigondisétrange comme les légumes daus une salade russe. Joyeux, Marcel baille, s étire, saute du lit et se met à lafenêtre. Il a la tète lourde et se sent le besoiu d as[)irer le l)onair pi(piant du matin. Et taudis (pi il legarde avec joie les arbres jaunis du jardindont il (tait si loin tout à llieure. une liirondcdle passealîairée. — Foi, lui crie Marcel, lu peux bien liler avec toutes tescompagnes; UKiis sois bien certaine (pie tu partiras sans luc^i I lA lui faisant uu pied de nez : — Merci de lale(;ou, hiroudelle, ma mie, et bon voyage!. Jean le gaiide eheimpêttfe. « on est souvent puni par où lon a péché. ^) — Eh bien ! mon Jeannot, es-tu prêt? — De suite, grandmère ! — Presse-toi, mon fieu, jentends la carriole dans le basde la côte, elle ne va pas tarder à être là. — Voilà, grandmère, je descends. — Noublie rien, surtout! As-tubien mis toutes tes affairesdans ton sac ?... Et tes gâteaux ?... les as-tu arrangés pourquils ne sécrasent pas ?... Mets les poires dans le panier pourne pas les taler ! et les cerises au-dessus !... — Oui, grandmaman, tout est prêt. La phrase a des résonances de contrebasse, car Jean estmaintenant un grand garçonnet dont la voix, qui mue, passede laigu au grave. Il apparaît, tenant dune main sa valise et de lautre lepetit panier bourré de friandises. I 78 :s hisioires sun ni; vii:i\ provkrbes Il (|iiilli ;inj()iir(l liiii la caiiipa^iio de ^raiurmère où ilest venu passer les \ , finies li(l


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