. Église Notre-Dame de Verneuil : son histoire, sa monographie . s, Mariaqui laissent deviner lessentiments dont tout le monde était pénétré. Alors personne nedédaignait la charité et son pénible service; chaque frère remplissaitchrétiennement son devoir. Lorsque plus tard les frères eurentrecours, pour se faire remplacer, à des commis qui, primitivement,devaient faire partie de la famille ou de la maison du frère, la charitéperdit de son importance; et, petit à petit, les commis ne furent plusque des gens salariés, voyant dans leur fonction un moyen de fairequelque profit. Ce fut la ruine de
. Église Notre-Dame de Verneuil : son histoire, sa monographie . s, Mariaqui laissent deviner lessentiments dont tout le monde était pénétré. Alors personne nedédaignait la charité et son pénible service; chaque frère remplissaitchrétiennement son devoir. Lorsque plus tard les frères eurentrecours, pour se faire remplacer, à des commis qui, primitivement,devaient faire partie de la famille ou de la maison du frère, la charitéperdit de son importance; et, petit à petit, les commis ne furent plusque des gens salariés, voyant dans leur fonction un moyen de fairequelque profit. Ce fut la ruine de la charité. Le dehors pouvait êtrerégulier, mais il ny avait plus de sève chrétienne pour la faire quil en soit de certains défauts inhérents à la nature humaineet dont la charité ne pouvait être exempte, il est regrettable que lonait si tôt oublié les services que cette confrérie a rendus. Mieux vautaméliorer et modifier que détruire. (1) O glorieuse étoile de la mer, Jélivrez-nous de la peste ; Marie, é — 3i — Nous navons plus rien à signaler dans le xve,qui avait commencéle transept sans pouvoir le terminer; la partie sud était seule voûté était réservé au siècle suivant de compléter ce travail. Cest à luique nous devons les voûtes merveilleuses du côté nord et du milieudu transept, dont la riche ornementation peut rivaliser avec celle duchœur de Tillières; elle a même cet avantage que les sujets en sontpurement religieux; malheureusement lélévation ne permet pas denadmirer tous les détails. Cest incontestablement le plus beau travailartistique qui soit dans la ville. Il est dû, daprès la légende, à lécolede Jean Goujon; en tout cas, il ferait honneur au maître. Les paroissiens voulurent aussi doter la tour dune plus grossecloche. Toutes les confréries vinrent en aide aux paroissiens; lacharité, notamment «lan mil cinq cens quatre-vingt & ung, a baillé& donné la fomme de dix efc
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