. Divers ouvrages . n eft laélion de cette puiftance. La ligne de direétion de rimprcilion eft celle par la-quelle la puifTIince meut le mobile. Nous appelions les imprefllons femblables, ou diver-fes, fuivant que leurs lignes de direction font entre-ellesparallèles, ou ne le font pas, &:c. Or il ne faut pas croire que nous appcUions une ligne,ligne fimple, dautant quelle eft décrite par un mou-vement fimple : car , comme nous verrons dans la fuite,non^fculement la circonférence du cercle , mais encorela ligne droite peut être entendue avoir été décrite parun mouvement compofé de tant de mouve
. Divers ouvrages . n eft laélion de cette puiftance. La ligne de direétion de rimprcilion eft celle par la-quelle la puifTIince meut le mobile. Nous appelions les imprefllons femblables, ou diver-fes, fuivant que leurs lignes de direction font entre-ellesparallèles, ou ne le font pas, &:c. Or il ne faut pas croire que nous appcUions une ligne,ligne fimple, dautant quelle eft décrite par un mou-vement fimple : car , comme nous verrons dans la fuite,non^fculement la circonférence du cercle , mais encorela ligne droite peut être entendue avoir été décrite parun mouvement compofé de tant de mouvemens quonvoudra. Nous avons encore défini lapuiffance entant quellenous peut fervir confidérant les diverfités des mouve-mens , ce qui nempêche pas que dans dautres fpécula-tions,nous nentendions par lemotdepuifTiinccunc forcecapable de foutenir un poids , ou de quelque autre énéralement en ce Traité nous confidérerons deuxchofes dans les mouvemenSj leur direâ leur Des Mou ve mens composes 5Axiomes. LA dircdion dune puifTancc mouvant un mobile ,lequel par Ion mouvement décrit une circonfcren-cc de cercle, cil la ligne perpendiculaire à lextrémitédu diamètre, au bout duquel le mobile fe trouve. Soit le mobile B , ( quipar fon mouvement décritla circonférence G B F ) aupoint B, à lextrémité du de-mi-diamétrc A B , auquel ibitperpendiculaire la ligne B pofe pour fondement queB C eft la ligne de dire-ftion par laquelle fe meut le mobile B en ce point-là- Et on en peut rendreune raifon naturelle ^ qui eft que lon ne fçauroit pren-dre quelque autre ligne que ce puilTe être , commeB D, fans tomber dans une abfurdité : car puifque la na-ture ne fouffre rien dindéterminé, & quon ne fau-Toit prendre la ligne B D, qui fait langle oblique DBA,avec le demi-diamétre , que par la même raifon lon nefût aufli obligé de prendre de lautre part la ligne BE quifait langle E B A , égal à D B A, ( ce qui eft abfurde ) ilsenfuit
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