. Le Jardin des plantes : description. e déclare, je suis sûr damener Charles de Bourgogne àpenser de moi ce ([ue je voudrai; et pour dissiper ses doutes, jiraisau besoin, désarmé, monté sur un palefroi, lui rendre visite dans satente, sans autre garde que toi-même, ami Olivier. — Eh bien, sire, moi, qui ne me vante de manier lacier que sousforme de rasoir, jaimerais mieux charger un bataillon de piquierssuisses que de vous suivre dans cette visite amicale, ((uand Charlesde Rourgogne a tant de motifs pour être sur (|ue vous le détestez. — Tu es un fou, Olivier, sécria le roi, malgré tes préten


. Le Jardin des plantes : description. e déclare, je suis sûr damener Charles de Bourgogne àpenser de moi ce ([ue je voudrai; et pour dissiper ses doutes, jiraisau besoin, désarmé, monté sur un palefroi, lui rendre visite dans satente, sans autre garde que toi-même, ami Olivier. — Eh bien, sire, moi, qui ne me vante de manier lacier que sousforme de rasoir, jaimerais mieux charger un bataillon de piquierssuisses que de vous suivre dans cette visite amicale, ((uand Charlesde Rourgogne a tant de motifs pour être sur (|ue vous le détestez. — Tu es un fou, Olivier, sécria le roi, malgré tes prétentions àla sagesse; tu ne sais pas (|ue la plus profonde politique doit souventprendre les dehors de lextrènie simplicité, de même que le couragese couvre parfois du masque dune timidité modeste. Sil le fallait,je verrais le duc Charles, comme je viens den annoncer lintention;mais jattcudrais que les saints fussent favorables à mon dessein, et quela conjonction des constellations célestes me promit une ré lPrii. Typoj|ra|ihic Pion iré Là-dessus, Louis X[ déposa son chapeau sur la table; el sai;enouilluntdevant les images placées dans le Ce fut ainsi (|u< iv roi Louis \l émit la première idée de la réso-lution estraordinaire quil prit plus tard pour duper uii granil rival,et ilont lui uième faillit être victime. Il se sépara de son conseiller intime, et se rendit iiuuiédialementdans Tapparteiuent des dames de Croye. Leur donner à eulriidie(|uon ne pouvait les protéger efficaeemeul contre le duc de Hour-i;gue, cen était ass<z pour les décider à quitter la cour de lrance;mais il ne fut pas aussi facile de leur iaiic adopter Liège pourretraite. Elles demaiulèieul cpioii les conduisit eu liretagiie ou à (Valais,i|iiou les mit à luênir dattendre, sous la prolictioii du duc de Hie-tagiie ou du roi dAngleterre, que leur suzerain leur dictât des con-dilions moins rigoureuses; mais leurs cœurs saccDidaient mal avec&lt


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