. Dictionnaire de physiologie. Physiology. fine branche qui se rendait au ganglion cervical supérieur. Dans uu autre cas, une branche du dépresseiir formait anasto- mose avec le nerf thyroïdien. Nous re produisons ici (fig. 100 et 101) les deux dessins donnés par Cyon du dépresseur du chien. Le trajet du dépresseur indiqué dans la figure 101, offre, comme on le voit, une ressemblance parfaite avec celui de ce nerf chez le lapin. Cyon estime que les variations obser- vées dans la disposition anatomique du chien tiennent à la diversité des races étudiées. Chez le cheval, Cyon a, dès
. Dictionnaire de physiologie. Physiology. fine branche qui se rendait au ganglion cervical supérieur. Dans uu autre cas, une branche du dépresseiir formait anasto- mose avec le nerf thyroïdien. Nous re produisons ici (fig. 100 et 101) les deux dessins donnés par Cyon du dépresseur du chien. Le trajet du dépresseur indiqué dans la figure 101, offre, comme on le voit, une ressemblance parfaite avec celui de ce nerf chez le lapin. Cyon estime que les variations obser- vées dans la disposition anatomique du chien tiennent à la diversité des races étudiées. Chez le cheval, Cyon a, dès 1870, constaté par des e.\périences physiolo- giques rpxislence d'un nerf dépresseui' distinct du pneumogastrique et du sym- pathique du cou. On trouvera repro- duite ici (fig. 102) la disposition analo- miqiie qu'il a donnée de ce nerf. Chez le cheval, ainsi que Tindique ce dessin, le nerf dépresseur possède, en sus dis deux racines a et 6 analogues à celbvs du lapin, une troisième racine A qui forme une forte anastomose avec le gang lion cervical supérieur E et continue sa marche vers une destination qui n'a pas encore été établie d'une manière bien précise. La figure 103 montre les rapports intimes de ces trois racines entre elles et avecles nerfs pneumogastriques et laryngé supérieur. On voit que ces rapports sont assez compliqués et notam- ment que la troisième racine du dépres- seur a trois origines différentes : deux branches procèdent de ces deux nerfs et la troisième c de la racine 6. Conjointe- ment avec le laryngé supérieur, ces ra- cines forment un véritable plexus nerveux à la hauteur du gonflement supérieur du pneumogastrique. En 1880, (13,1 a étudié, au seul point de vue anatomique, la distri- bution du dépresseur chez le cheval. Il en donne deux variétés dont une ne diffère pas de celle de Cyon, sauf que la troi- sième racine a
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