Revue générale des mati`eres colorantes et des industries qui s'y rattachent . ets decette dernière maison étaient déposés, noire de-mande de brevet allemand précité avait été/lubliée et par suite était accessible au brevets anglais portent aussi des dates an-térieures (e. p. 2i832 du 1 octobre 1898 et e. du 7 mars 1899). Notre brevet françaisia° 288|6j), il est vrai, ne fut pris que lorsquenos travaux furent plus complets, 1p 3 mai 1899,le même jour que les brevets Vidal; et, cestsans doute cette coïncidence qui a amenéM. Jaeck à croire que lemploi des Ihiosulfatespour la p
Revue générale des mati`eres colorantes et des industries qui s'y rattachent . ets decette dernière maison étaient déposés, noire de-mande de brevet allemand précité avait été/lubliée et par suite était accessible au brevets anglais portent aussi des dates an-térieures (e. p. 2i832 du 1 octobre 1898 et e. du 7 mars 1899). Notre brevet françaisia° 288|6j), il est vrai, ne fut pris que lorsquenos travaux furent plus complets, 1p 3 mai 1899,le même jour que les brevets Vidal; et, cestsans doute cette coïncidence qui a amenéM. Jaeck à croire que lemploi des Ihiosulfatespour la préparation de colorants soufrés avaitété découvert simultanément par les maisonsprécédentes et nous-mêmes. Veuillez agréer, etc. Artuir g. Gree\,(Aaijton 20 janvier l!)O0. Le Directeur-Gérant : L. Lefêvre. Imprimé à Corbeil par Éd. CnÉTÂ, sur papier pur alfa fabriquaspécialement pour la Éevue. N«40. REVUE GENERALE DES MATIERES COLORANTES ET DES INDUSTRIES QUI SY RATTACHENT ToMK IV. l Avril 1900. CARTE DÉCHANTILLONS N N 39. — Noir toluyléne G à 5 p. 100 iflehlei). N 40. — Noir pour mi-laine B à G p. 100 {Oehler). REVUE GÉNÉRALE DES MATIÈRES COLORANTES ET DES INDUSTRIES QUI SY RATTACHENT 4 Année N° 40. — Tome IV 1 avril 1900 EXPÉRIENCES SUR LES THÉORIES DE LA TEINTURE Par M. P. SISLEY. Létude suivante a pour but de montrer queles analogies qui existent entre les piiénomènesde teinture, et ceux qui se passent lorsquonextrait une matière colorante de sa solutionaqueuse au moyen dun dissolvant non miscibleà leau, se poursuivent plus loin quon ne lavaitmontré jusqualors. Nous verrons en effet que plusieurs expé-riences, que les adversaires de la théorie deWitt jugeaient les plus propres à opposer à lathéorie de la dissolution, deviennent au contrairedes arguments en faveur de cette théorie. Exposons dabord lhypothèse proposée parWilten 1890 (1), puis nous discuterons les cri-tiques qui lui ont
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