Archive image from page 310 of Dictionnaire de physiologie (1913). Dictionnaire de physiologie . dictionnairedeph09rich Year: 1913 INSECTES. 301 riâ FiG. 2C. Marche d'un ra ou ocm daus un cylindi-c-lentillo. (Daprùs ExNER.) nique sensible sur lo pi,i;iueiil rÃtinien ciiez les Insectes (contrairement à ce qui a lieu pour les CrustacÃs), il n'en est pas dn même pour la couche pùripliÃrique, qui, suivant les variations d'intensità lumineuse, fonctionne comme un iris atteignant un très haut degrà de perfection. Si l'on fait en effet deux prÃparations de l'Åil portant sur deux Insectes de n
Archive image from page 310 of Dictionnaire de physiologie (1913). Dictionnaire de physiologie . dictionnairedeph09rich Year: 1913 INSECTES. 301 riâ FiG. 2C. Marche d'un ra ou ocm daus un cylindi-c-lentillo. (Daprùs ExNER.) nique sensible sur lo pi,i;iueiil rÃtinien ciiez les Insectes (contrairement à ce qui a lieu pour les CrustacÃs), il n'en est pas dn même pour la couche pùripliÃrique, qui, suivant les variations d'intensità lumineuse, fonctionne comme un iris atteignant un très haut degrà de perfection. Si l'on fait en effet deux prÃparations de l'Åil portant sur deux Insectes de nirme espèce, l'un tuà on plein soleil, l'autre tuà à l'obscuritÃ, on constate que la disposition du pigment iridien est fort diffÃrente dans les deux cas (Kxner, Stefanowksa) (fig. 32, 34). Par une lumière intense le pigment iridien s'Ãtale en arrière, au delà des cônes, coiiTant le sommet do chacun d'eux d'un tube à parois noires d'autant plus long que la lumière est plus intense, et il ne laisse passer que les rayons dirigÃs suivant les axes des ommatidiesou ceux qui s'en Ãcartent pou; au contraire, dans l'obscuritÃ, le pigment se concentre en avant, du côtà de la surface, et presque tous les rayons tombant sur les facettes peuvent être utilisÃs. Pour obtenir le maximum de dÃplacement, il ne faut pas un sÃjour très prolongà à la lu- mière ou à l'obscuritÃ; mais seule- ment quelques heures. Les variations dans la disposition du pigment iridien peuvent se tra- duire chez l'Insecte vivant par un phÃnomène facilement apprÃciable, surtout si l'on a recours à un ophtal- moscope muni d'une lentille grossissante; c'est le phÃnomène d'extinction de la lueur oculaire : lorsqu'on examine l'Åil d'un Papillon de nuit ayant sÃjournà à l'obscuritÃ, en approchant la tête de l'animal de la flamme d'une bougie, on distingue à la sur- face de l'Åil un point lumineux rouge. Au bout de quelque temps d'exposition de
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