Voyageurs anciens et modernes, ou Choix des relations de voyages les plus intéressantes et les plus instructives depuis le cinquième siècle avant Jésus-Christ jusqu'au dix-neuvième siècles, avec biographies, notes et indications iconographiques . t avec une extrême rapidité. C) « On suppose que celte irruption soudaine était causée par le gonflement de lun des fleuves qui se déchargent dans legolfe de Paria , et que Colomb ne connaissait pas encore. » ( Washington Irving. ) — Pierre Martyr avait entendu lamiraldire quil avait gravi le dos de la mer, et que cétait une sorte de montagne sélevanl


Voyageurs anciens et modernes, ou Choix des relations de voyages les plus intéressantes et les plus instructives depuis le cinquième siècle avant Jésus-Christ jusqu'au dix-neuvième siècles, avec biographies, notes et indications iconographiques . t avec une extrême rapidité. C) « On suppose que celte irruption soudaine était causée par le gonflement de lun des fleuves qui se déchargent dans legolfe de Paria , et que Colomb ne connaissait pas encore. » ( Washington Irving. ) — Pierre Martyr avait entendu lamiraldire quil avait gravi le dos de la mer, et que cétait une sorte de montagne sélevanl vers le ciel. () Colomb était alors le long de la cote intérieure de la Trinité, et il avait 6 sa gauche le golfe de Paria, quil croyait êtrela pleine nier. IGG VOYAGEURS MODERNES. — CHRISTOPHE COLOMB. On navigua au nord vers une montagne très-élevée, qui parut à Colomb à 26 lieues de la pointe delArsenal (). Là étaient deux caps très-élevés, lun à lest sur lile de la Trinité (-), lautre à louest surla terre que Colomb croyait être une île quil nommait la Gracia {). En cet endroit, on rencontre encoreun canal étroit (*), des courants, des bruits effrayants et de leau douce. Plus on avançait le long de la. Groupe dIndiens des bords de rOrénoque. — Daprès Steedmann. cûte vers le couchant, plus la mer était douce et bonne à boire. Sur un point où lon aborda pour quelquesmstants, on vit des traces indiquant la présence récente dhabitants; la montagne était toute couvertede singes. On se remit en route, et lon côtoya une chaîne de montagnes jusquà son extrémité, verslembouchure dune rivière {^). () A13 ou li lieues seulement. () Pointe de Pena-BIanca. {) Sur le long promontoire do Paria, qui savance de la ferme et forme la côte septentrionale du golfe. () Lune des bouches du Dragon. () A louest de la pointe Cuniana. LE GOLFE DE PARIA. LE PARADIS TERRESTRE. 167


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