. Le Monde moderne. aiit la férocitéjusquà linvi-aiscinblable, tels les Hago-bos (|ui pour ari-iver à occuper certainsemplois ou à se marier doivent avoircoupé soixante têtes - de castes moresilivisées en sultanies distinctes, sans son,(If i:r minhanao cnhésion, sans unité aucune, Minilanaona jamais partage avec ïiaiiggi cet hon-neur que les chancelleries des grandes|)uissances aient porté ses plaintes augouvernement espagnol ; elle na pasdavantage motivé les protocoles labo-rieux suscités |)ar son irréductible voi-sine. ferliiilé de ces ilos. coupées den)agnili(]ues sierra^ drapées |u-i|u


. Le Monde moderne. aiit la férocitéjusquà linvi-aiscinblable, tels les Hago-bos (|ui pour ari-iver à occuper certainsemplois ou à se marier doivent avoircoupé soixante têtes - de castes moresilivisées en sultanies distinctes, sans son,(If i:r minhanao cnhésion, sans unité aucune, Minilanaona jamais partage avec ïiaiiggi cet hon-neur que les chancelleries des grandes|)uissances aient porté ses plaintes augouvernement espagnol ; elle na pasdavantage motivé les protocoles labo-rieux suscités |)ar son irréductible voi-sine. ferliiilé de ces ilos. coupées den)agnili(]ues sierra^ drapées |u-i|uii leurs Le crocodile, comme dans toutes lesPhilippines, tend à disparaître. Le |)orl de Maïbun, inlinimenl plusactif c|ue celui de Soulou, fait une ex-portation considérable de café, cacao,soufre, gutta-percha, nids dhirondelles,abaca textile) bois de fer, |>erles. Lapêche en est extrêmement dangereuse àcause lies requins et conduit rapidementà la phtisie les mallieureux esclaves, sur-. sommets de toute la splendeur de laforêt vierge, est prodigieuse. Une IToreinouïe ; cest dans cet archipel que setrouvent les plus belles orchidées con-nues. Tous les fruits et légumes euro-jiéens ou indigènes y croissent à profu-sion. Les grands fauves ne sont représentés(pie par le buftle sauvage, le rhinocéroset léléphant de petite taille, et encoreles individus de ces deux dernières racesdeviennent-ils plus rares chaque joui. Les serpents, gros ou petits, y abon-dent, ainsi que la sangsue lilliputienne,la même quà Madagascar — un fil —plaie du voyageur, dont elle menacesans cesse le nez et les oreilles dunevisite non seulement désagréable, maisdouloureuse extrêmement. prenants plongeurs, qui la dépassant un certain poids appar-tiennent au sultan. Les Chinois, protégés par les datosdont ils sont généralement les associés,accajiarent tout le commerce. Lempire de Soulou remonte, sil fauten croire les auteurs les plus


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