. Les oewres de chirurgie de Iacques Guillemeau, chirurgien ordinaire du Roy et Iure a Paris : avec les portraits et figures de toutes les parties du corps humain et des instrumens necessaires au chirurgien . t auffi acres a~vfer de remèdes trop aftringents Se rédre la prunelle trop eftroi- 7\te. Auicenne recommande ce collyre, 2£.fcllis hoedi Se gruis aft, aur. iij. croci 5 j .pi- collyrepéris centum Se feptuaginta grana,fucciliquiritia; Se tertiam aurei partem, èjteu ij. mellis quantum fatis, fiât ex eis alcohol Se terantur cum aqua treU mj-fœ
. Les oewres de chirurgie de Iacques Guillemeau, chirurgien ordinaire du Roy et Iure a Paris : avec les portraits et figures de toutes les parties du corps humain et des instrumens necessaires au chirurgien . t auffi acres a~vfer de remèdes trop aftringents Se rédre la prunelle trop eftroi- 7\te. Auicenne recommande ce collyre, 2£.fcllis hoedi Se gruis aft, aur. iij. croci 5 j .pi- collyrepéris centum Se feptuaginta grana,fucciliquiritia; Se tertiam aurei partem, èjteu ij. mellis quantum fatis, fiât ex eis alcohol Se terantur cum aqua treU mj-fœnicuîi,& conficiâturcum melletrochifci. Autre collyre, ^.gummi ^,^^ë.^ : fupra cineres nodem, deinde bulliâcparum Se ^t collyrium. Infunde guttas aliquod in oculum. ce co- 334- Des Maladies de lOeil, Liure XI. Delefîrefiiffcmcnt &fleirijj<:mcnt de la Prunelle, dicl en Grec $Nok âplaA^tfj Jf) (l:sLatinsTabes Pupilia?,Pupillae conftri&io. Vegtins3auxbcfies brutes,nomme cesle maladie Xw/zo^slch , & quelques insà [homme qne Chapitre II. rA/yî^generalementeftpris pour toute exténuation &emmc-griffement. Toutefois les anciens lontpris pour vneaffediondelceil quand la prunelle deuient pluseftroitte & débile, re-prefentat comme vn petit point à lœil : Elle diffère d^érrophias,pour ce que lAtrophie eft de tout lœil, &: lePthifs de la Pupil-le feulement. La pupille doit eftre médiocre, ceftàdire, nytrop large (comme au Midriafis) ny trop eftroittc, comme auPthifis, la tropeftroide, empefche les rayons delefpnt vifueldefortir: la trop large, efteaufede les diffiper : elle doit auilieftre droicT: à loppofite de lhumeur Ci yftalin : careftant de cofté laveuë ne feferapas bien. Telledifpofitionaduient,comme did Auicenne, dés la première confor-mation, mais ceux qui ontlaprunelle petite de celle forte ontlaveuëtre
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