Les oeuvres posthumes de monsieur de La Fontaine . .Chacun fe déclara pour fonChat, pour Ton fit un Règlement dont les Chats fe plaignirent^ Et tout le quartier é Avocat dilbit quil falloit bel & bienRecourir aux Airefts. Envain ils les chcrchereat î %^%é Oeuvres Pojîumes Car en certain cabàs où leurs gens les cachèrent^ Les Souris enfin les mangè proccz nouveau ; le Peuple SouriquoilsEn patit ; maint vieux CLat fin , fultil &;narquois,F,t dailleurs en voulant à toute cette guetta , les prit, fit Maiftre du logis ne sen trouva que mieux
Les oeuvres posthumes de monsieur de La Fontaine . .Chacun fe déclara pour fonChat, pour Ton fit un Règlement dont les Chats fe plaignirent^ Et tout le quartier é Avocat dilbit quil falloit bel & bienRecourir aux Airefts. Envain ils les chcrchereat î %^%é Oeuvres Pojîumes Car en certain cabàs où leurs gens les cachèrent^ Les Souris enfin les mangè proccz nouveau ; le Peuple SouriquoilsEn patit ; maint vieux CLat fin , fultil &;narquois,F,t dailleurs en voulant à toute cette guetta , les prit, fit Maiftre du logis ne sen trouva que reviens à mon dire; on ne voit fous les CicixNul animal, nul eftrc , aucune créatureQui nait fbn oppofé , ceft la Loy de Nature , ?En chercher la raifon, ce font foins fupcriîusDieu fit bien ce quil fit, & je nen fçais pas pluiî.Ce que jai toujours veu, ceft quaux grolTcs parolesOn en vient fur un rien plus des trois quarts du , il vous faudroit encor â foixante aijsRenvoyer chez les it M, de U Fontaine. zif SONNET Servant de Rêfmfe à un Bout^Rbr^du Sieur dç Fursùere^ TE mettre à S. Lazare, eft a£le de Jufticc jJen veux faire un Placer à noUre ne lit point le tien quil ne vomiiTe ,Et ne conncic en toy quun Calomniateur j •KMW fcmble à tes difcours que chacun îaplaudifle-; > Et toujours du bon fens cruel PerfecuteurTu veux parler de mots, & conions lartificeAvec lart ; cette faute eft crime en un Auteur,: ^^ Ne timagine pas quon la lailTc impunie^ Mais linfolencc fuit en toy la calomnie. Nen eft-cc pas un trait que de blafmer le Roy ? Tu controlles £^% dons, homme foy y lAcadémie eft plus fage que deils à parler;, ou garde le iîlcncçy 2i8 Oeuvres Pofiumeï %^-^ A MADAME DE FONTANGES. jT^Harmanr objet, digneprefent des Cieux,^^-^£c ce ncft pouit langage de ParnafTc;.Voilre beauté vient de la main des Dieux,Vous Tallez voir au récit que je îent mes
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