Annales maritimes et coloniales . u panneaupercé dans le faux-pont pour le passage des poudres, parlequel on communiquerait dans cet endroit. Les cloisonsdavant et des soutes les plus de lavant, seraient réunieisdans le centre pour en faire une cinquième. Toutes lesxloisons seraient à claire-voie. La soute le plus de lavantpourrait servir à mettre les balais; les quatre autres ées , lune au chirurgien, pour y ramasser les matelas,idraps et couvertures des malades ; la deuxième au maître-s-voilier, la troisième au maître-charpentier, et la quatrièmeau maître-calfat : cela débarrass
Annales maritimes et coloniales . u panneaupercé dans le faux-pont pour le passage des poudres, parlequel on communiquerait dans cet endroit. Les cloisonsdavant et des soutes les plus de lavant, seraient réunieisdans le centre pour en faire une cinquième. Toutes lesxloisons seraient à claire-voie. La soute le plus de lavantpourrait servir à mettre les balais; les quatre autres ées , lune au chirurgien, pour y ramasser les matelas,idraps et couvertures des malades ; la deuxième au maître-s-voilier, la troisième au maître-charpentier, et la quatrièmeau maître-calfat : cela débarrasserait dautant le faux-pontdes vaisseaux, qui ne peut être trop vaste dans un des frégates offrirait plus de logement ; etleurs voiles, toujours humides par leau qui filtre sans cessepar la carlingue du cabestan , dans laquelle elles se trouventdaprès linstallation actuelle, seraient à labri. Les poudresde lavant seraient, dans un événement, plus facilementnoyées, étant plus basses , & Soute pour 1 3 j Souic pour le maître-voilier. 5 le maîtrc-chirp. ôl Soute à voiles,bâbord. Pan iioute i voiles ,tribord. PUtc-formc supérieure. Très-souvent les bossoirs de nos bâtimens sont placé* p ( 375 )trop perpendiculairement au plan de fa quilfe ; il en résulteque la patte des ancres, quand on la traverse , vient surles porte-haubans : cest un vice dinstallation qui peut en-traîner à de grands malheurs , non-seulement quand ontraverse les ancres, mais quand on les met en mouillage,ce qui est fort difficile. Je me suis trouvé à bord dunefrégate qui était dans ce cas-là. Une nuit, dans fa Médi-terranée, nétant point préparés à mouiller, nous fûmesobligés de le faire. Il ne sen fallut guère que nous nefussions jetés à la côte, et cela parce que nous nepouvions réussir assez promptement à dégager loreille dplancre de dessus le porte-hauban, quoiquil y eût entreles deux une savate. Les chaînes de haubans qui avolsinent
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