La colonisation du Temiscamingue . si lon en juge par les statistiques suivantes : dans les deuxcantons Duhamel et Guignes, il y avait en 1875, 10 acresen culture, 130, en 1882, et 850, en 1885. On y comptait3 familles en 1875—11, en 1882—37, en 1885. En 1886, 14 familles vinrent sajouter aux 37 déjà éta-blies, ce qui porta le nombre de familles établies à 51. En1887, ce nombre fut porté à 69. Dans le cours de cetteannée, le gouvernement fit arpenter deux nouveaux can-tons, Laverlochère et Fabre. Le Père Gendreau, dans son rapport à la société de colo-nisation dOttawa, en date du 7 février 188


La colonisation du Temiscamingue . si lon en juge par les statistiques suivantes : dans les deuxcantons Duhamel et Guignes, il y avait en 1875, 10 acresen culture, 130, en 1882, et 850, en 1885. On y comptait3 familles en 1875—11, en 1882—37, en 1885. En 1886, 14 familles vinrent sajouter aux 37 déjà éta-blies, ce qui porta le nombre de familles établies à 51. En1887, ce nombre fut porté à 69. Dans le cours de cetteannée, le gouvernement fit arpenter deux nouveaux can-tons, Laverlochère et Fabre. Le Père Gendreau, dans son rapport à la société de colo-nisation dOttawa, en date du 7 février 1888, notait quily avait maintenant dans les cantons Duhamel et Guignes,1085 acres en culture, et 112 familles résidentes ; cesdeux cantons venaient dêtre érigés en muncipalité. Ces premiers essais si laborieux, si longtemps incertains,ont-ils été couronnés de succès? Oui, et malgré les diffi-cultés presque insurmontables, inhérentes à toute entre-prise de ce genre, en dépit de léloignement des grands. CAD OC 3O O


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