Revue pittoresque : musée littéraire . , que lamour le quil sendorme aux chanis des matelots. « Tu reparais dans le ciel, isolée,Ma belle étoile aux amoureux rayons;Quand, pour te voir, je viens dans la vallée,Jacques vers toi cherche mes visions. « Dans tes rayons nos âmes enlacéesVont écouler un écho des beaux jours;Foyer charmant de toutes nos pensées,Ma chère étoile, ah ! reparais toujours. » Mais Jane enlend gronder au loin lorage,Et sur létoile un a passé !La mer mugit, cest encore un naufrage;La pauvre enfant tombe le creur glacé. Le lendemain, couverte dun long voil
Revue pittoresque : musée littéraire . , que lamour le quil sendorme aux chanis des matelots. « Tu reparais dans le ciel, isolée,Ma belle étoile aux amoureux rayons;Quand, pour te voir, je viens dans la vallée,Jacques vers toi cherche mes visions. « Dans tes rayons nos âmes enlacéesVont écouler un écho des beaux jours;Foyer charmant de toutes nos pensées,Ma chère étoile, ah ! reparais toujours. » Mais Jane enlend gronder au loin lorage,Et sur létoile un a passé !La mer mugit, cest encore un naufrage;La pauvre enfant tombe le creur glacé. Le lendemain, couverte dun long voile, Jam; écoulait lOcéan dans son tliix. Et sécriait en conlemplanl réluile : « Pourquoi briller puisijuil ne le voit plus ? » Les Ilalien; vuiit alliT dianler ailleurs. A piiiiPal-on eu le leiiips de les écouler. Pauvres Ilaliens!il semble quils aient perilu leur magie, en per- (lanl Donizetli! Son ombre les prolége eneore;mais la source dIiarmoiiie est épuisée. Celui-làaussi est mort fou — fou de génie !. Mario et Oisi nont pas voulu clianler sous la rois; Giisi et Mario ne reconnaissent pas le peupleRépublique. Talma se glorifiait dun parterre de i souverain.
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