. Dialogue des devises d'armes et d'amovrs du S. Pavlo Iovio : avec un discours M. Loys Dominique sur le mesme subiet . mifere ^ def^UiJîr,SurcefluyfubteB: le luy fis paindre v» char triomphant y trainépar quatre cheuaux blancs-.^ fur iceluy eftoit ijn EmpCreur triomphant auec vn efclaue noir derrière luy» qui furle chefluy tenait la Couronne de Laurier y a i anciennefiafon,de ou Ion auoit accoutuméipour mitiguer laftùperhe O y aine gloire de ï Empereur,faire triompher auSiauecluy î efclaue mot du de (fus ejloit ijn motprinsde luuenal : cefiafauoir, servvs Cvrrv PORTA-TvR EODE


. Dialogue des devises d'armes et d'amovrs du S. Pavlo Iovio : avec un discours M. Loys Dominique sur le mesme subiet . mifere ^ def^UiJîr,SurcefluyfubteB: le luy fis paindre v» char triomphant y trainépar quatre cheuaux blancs-.^ fur iceluy eftoit ijn EmpCreur triomphant auec vn efclaue noir derrière luy» qui furle chefluy tenait la Couronne de Laurier y a i anciennefiafon,de ou Ion auoit accoutuméipour mitiguer laftùperhe O y aine gloire de ï Empereur,faire triompher auSiauecluy î efclaue mot du de (fus ejloit ijn motprinsde luuenal : cefiafauoir, servvs Cvrrv PORTA-TvR ^Comhiequeiayelafaueurde ce fie DamoyfeUcitouteffou la chofe ne mejl pas trop ag^greableipeu quelle ni efl commune auec^nferfjt h as ^ ahlieB. La deuifefuttreshelle a Voir enpainture:&* celuy trefgentil Seigneur en efant grandement fatisfait^ la fit puisgrauer en vne médaille d*or,Et quen ce fie deuifey entre fi^gure humaine y celafemhla pour ce coup tolerallé par ceuxqui enfontfcrupuleux compofiteurs : njeu que ladite figurehumaine ejloiten hahit extraordinaire, 1 111 DIAL. DES DEVISES. D o ceflemefiait^yeu auefdmedu versde luuenalluy donne U ^ak dites nioy ^Monfeigneur^menteurs les Cardinaux^auec hfauelz^ \>ousauez^Jî longue-mentJrequentéjontil^accouBume de porter deuifes^ i O v>Ouy dea^cjuandil^Jont Grinces nohlesicommefutle Cardinal^ elayant mis auConclaue tout fon effort•four faire créer Tape 2lodrtg Borgia^quifuis après fut ap^pelle AlexandreJixieme^ne tarda guère quaux grand sef-feBs le trouua non feulement ingrat imaisfon ennemy mor-tel. De forte que par fon moyen 3^ parfes mauuais def-femgSyle T)uc Louis fut dechafé de J^tlanpar les Frafoisy^ fans point entrelaïfferfa haine ^ne ce fa lamais de pour-future la maifon des Sforzes,iufques a ce qu ilzfurent tra-hiéjeuefus deleurefat3&^ menez^prtfonmers en France. En ce DE PAVLO lOVIO. 115 Ence propos fit faire le S. ^fcaniopbur deuife teclipfe d^Soleilddq


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