Nouveau Larousse illustré : dictionnaire universel encyclopédique . n avantagede distance. La quatrième sorte de partie, que lon appellechicane, se joue partout où lon se trouve. On prend pourbut un arbre, un mur, ou tout autre objet, auquel il fautarriver après certains détours convenus. MAIL {ma-ill [H mil.]) n. m. Espèce de ciment que lonfaisait en Italie avec do la chaux vive, du vin, de la graissede porc et dos figues. Mailath [Jean, comte), historien et poète autrichien,né à Pest en 1786, mort en 1855. Il se consacra entière-ment à létude dos origines du peuple hongrois. Réduit àla misèr
Nouveau Larousse illustré : dictionnaire universel encyclopédique . n avantagede distance. La quatrième sorte de partie, que lon appellechicane, se joue partout où lon se trouve. On prend pourbut un arbre, un mur, ou tout autre objet, auquel il fautarriver après certains détours convenus. MAIL {ma-ill [H mil.]) n. m. Espèce de ciment que lonfaisait en Italie avec do la chaux vive, du vin, de la graissede porc et dos figues. Mailath [Jean, comte), historien et poète autrichien,né à Pest en 1786, mort en 1855. Il se consacra entière-ment à létude dos origines du peuple hongrois. Réduit àla misère, il se noya avec sa fille dans le lac de ses œuvres, on cite surtout : Choix de poèmes enlieilallemand, traduits en allemand moderne (1819); Poèmes(1824); Poèmes magyars[1825]; Histoire des Àfaggars{l^i%-1831); Histoire de la ville de Vienne {nZ2) ; les Troublesreiiqieux en Hongrie {iSAb). Son ouvrage capital estVHistoire de lempire autrichien (1834-1850). MAIL-COACH {mél-côtch — mot angl., formé de mailjmalle, et iiAui. Borlinoattelée de qua-tre chevaux,avec plusieursrangs do ban- Mail-coach. quettes sur le dessus de la voiture, n PI. Des mail-coaches. (On dit aussi,par abrév., mail; pi. Des mail.) MailhE (Jean-Baptiste), homme politique français, néà Toulouse en 1754, mort à Paris en 1834. Procureur gé-néral syndic do la Haute-Garonne, il siéfçea dabord à lAs-semblée législative, puis à laConvention (l792); il futchargé du rapport sur la mise en accusation de Louis conclut à la compétence de lAssemblée, vota la mort duroi, mais prit linitiative de la demande de sursis. Il pritune part active à la réaction thermidorienne. Au conseildos Cinq-Cents, il demanda la suppression des sociétéspopulaires. Il adhéra au parti do Clichy, et rédigea, enfaveur des royalistes, le journal « lAmi de la Constitu-tion ». En 1797, il fut déporté un an à Oléron. Amnistié auis-Brumaire, il se rendit à Paris,
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