L'illustration : journal universel . tôt dun sixième;ils se disputèrent tous la ,craignantqueseshôtes ne fussent trop lot repuset ne sen retournassent auplus vite, neut pas la patiencedattendre que le septième fûtrentré; il tira un cordeau et laporte se trouva solidement fer-mée. Alors commença le feuà volonté, car maîtres et valetsavaient des armes. Les pre-miers coups de feu mirentbientôt en émoi les loups. Cessix loups en furie poussaientdes hurlements terribles, aux-quels répondirent les hennisse-ments de six chevaux, les cris des bestiaux et les aboiementsde deux chiens


L'illustration : journal universel . tôt dun sixième;ils se disputèrent tous la ,craignantqueseshôtes ne fussent trop lot repuset ne sen retournassent auplus vite, neut pas la patiencedattendre que le septième fûtrentré; il tira un cordeau et laporte se trouva solidement fer-mée. Alors commença le feuà volonté, car maîtres et valetsavaient des armes. Les pre-miers coups de feu mirentbientôt en émoi les loups. Cessix loups en furie poussaientdes hurlements terribles, aux-quels répondirent les hennisse-ments de six chevaux, les cris des bestiaux et les aboiementsde deux chiens dogues qui étaient attachés; tout cela, jointaux coups de feu, faisait faire des sauts épouvantables auxloups qui essayaient, mais en vain, descalader les murailles. Enfin, à minuit, les six loups étaient sur le carreau, morts ougrièvement blessés. Hier, à la poinle du jour, le fermier des-cendit dans sa cour avec ses garçons , et ils furent obligésdachever deux loups qui existaient encore. Arrivèrent alors. (Mort du j une partie des habitants des communes voisines, lesquels nesa-vaient que penser dune pareille fusillade; il y avait quatre loupset deux louves sur le carreau. Procès-verbal a dû être dresséhier pour obtenir la prime, laquelle sera de beaucoup supé- rieure au prix du cheval mort, car le fermier lestimait à peude valeur. » ,*. Le Journal de Toulouse, renferme de son côté le récitsuivant : « Dans la soirée du 16 février, une énorme avalan-che, détachée de la cime de lamontagne appelée la Pelade,après avoir entraîné sur sonpassage plusieurs granges et lesbestiaux quelles renfermaient,est venue fondre sur le ha-meau de Carol, distant de Mas-sât denviron un myriamè maisons ont élé entière-ment détruites, et tout cequelles renfermaient a cessédexister. M. Espaiguac, ad-joint, qui habite le village duPort, plus rapproché que Mas-sât de ce hameau, sest le pre-mier rendu sur les lieux. Lestravailleurs nont poin


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