L'illustration : journal universel . que cest làleur principale occupation, etlon comprendra que sy livranlpour ainsi dire (fus lenfance,ils atteignent à une supérioritéqui tient du prodige. Parmi cesexercices, il en esl un qui mabeaucoup étonné. Ils rappel-lent un stratagème de en font lobjet duni! étudecontinuelle, et arrivent à lepratiquer dune manière sur-prenante. Cet exercice consistea pouvoir se. renverse]- le corpsde la façon dont le représentele dessin ci-joint, en se faisantune sorte de bouclier du che-val auquel on ne tient que par la force du talon; et en passantaussi pr


L'illustration : journal universel . que cest làleur principale occupation, etlon comprendra que sy livranlpour ainsi dire (fus lenfance,ils atteignent à une supérioritéqui tient du prodige. Parmi cesexercices, il en esl un qui mabeaucoup étonné. Ils rappel-lent un stratagème de en font lobjet duni! étudecontinuelle, et arrivent à lepratiquer dune manière sur-prenante. Cet exercice consistea pouvoir se. renverse]- le corpsde la façon dont le représentele dessin ci-joint, en se faisantune sorte de bouclier du che-val auquel on ne tient que par la force du talon; et en passantaussi près que possible dun ennemi, on peut lui lancer àbout portant une ou deux flèches suis sexposer à ses exercice, auquel les jeunes guerriers se livrenl très-sou-vent, est leur plaisir favori. — Je nhésite pas à dire que lesCatnancbees sont les cavaliers les plus raffinés quil soit pos-sible de rencontrer; dune taille au-dessous de la moyenne,corpulents (ce qui est rare chez les autres Indiens par suiie. [Peaux-Rouges. — LHomme de sens.) d icui le nom de Shunk-a-wak-nn (chiens de mystère . i el se donnent mutuellement des fêtes; Us se sont souvent Les alliés les plus intimes des Camanchees sonl les Paw- unis aussi pour la défense de leurs territoires. Les femmesnees-Picts (1), les Kiowas et les Wicus. Ils (liassent cuseiuble | pawnees sont fort belles et pleines de grâces. Ces tribus quoique alliées , Pawnees ,Kiowas, Camanchees et Wi-cos, parlent des langues dillé-rentes. Nous mîmes six jours pournous rendre du grand villageibs Camanchees au fort Jibson,situé dans lÉtat d Ârkansas. Cefut un rude voyage a travers devash-s prairies brûlées par lar-deur du soleil auquel nousétions toujours exposés, nerencontrant que rarement despâturages pour nos chevaux etde leau pour nous désalté allions la chercher aufond des ravins où lon retrou-vait encore les traces de quel-ques rivières. Jai beaucoupsouffert dans cette mari ne, où


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