. La Grande encyclopédie, inventaire raisonné des sciences, des lettres et des arts. petite bibliothèque musi-cale ; Rennes, s. d. — Eitaer, Bibliographie der Musili-sammelvterhe, 1S77.— Van der. S irakien, (a Musique auxPays-Bas, t. 1 et VI. — Haberl, Bausteine fur Musih-gcschichle, t. II et III. DEPRESSARIA (Depressaria Haw. ; Hœmilis Du-ponch.)(Zool.). Genre de Microlépidoptères, du groupe desTihéites et de la famille des Géléchides, caractérisé surtoutpar les palpes labiaux très longs et arqués, relevés au-dessus de la tète et ayant leurs deux premiers articles for-tement garnis de poils o
. La Grande encyclopédie, inventaire raisonné des sciences, des lettres et des arts. petite bibliothèque musi-cale ; Rennes, s. d. — Eitaer, Bibliographie der Musili-sammelvterhe, 1S77.— Van der. S irakien, (a Musique auxPays-Bas, t. 1 et VI. — Haberl, Bausteine fur Musih-gcschichle, t. II et III. DEPRESSARIA (Depressaria Haw. ; Hœmilis Du-ponch.)(Zool.). Genre de Microlépidoptères, du groupe desTihéites et de la famille des Géléchides, caractérisé surtoutpar les palpes labiaux très longs et arqués, relevés au-dessus de la tète et ayant leurs deux premiers articles for-tement garnis de poils ou décaillés. Le D. nervosa llavv.(I). daucella Treitsch) est appelé vulgairement Teigne dela Carotte ou T. du Cumin. Ses chenilles causent parfoisdes dégâts considérables dans les potagers, en rongeant lesHeurs et les jeunes fruits des Carottes et des Panais. Ellessont également très nuisibles, en Allemagne, aux planta-tions de Cumin. Ed. Lef. DÉPRESSION. Différence qui existe entre la hauteurobservée dun astre prise dune certaine élévation au-des-. sus de lhorizon et cette hauteur, si elle était prise parun observateur dont lœil coïnciderait au centre même delhorizon rationnel du lieu oùse trouve cet observateur. Soient : o, lœil de lob-servateur; ZoO, la verticaledu lieu ; S, lastre observé ;oa, bh, oh, les intersectionsdu vertical avec lhorizonvisible, lhorizon apparent etun plan parallèle à lhorizonapparent, mené par le qui prend unehauteur à la mer, à laidedun cercle ou dun sextant, met en contact un des bords de lastre avec lhorizonvisible a. Mais, en raison de la réfraction, lobservateurmesure donc langle Soa au lieu de Soa. Langle aoapeut sexprimer par aoa = aC, a étant le coefficient deréfraction terrestre. La hauteur observée Soa = Soh -1- hoa!ou sensiblement = Sbh -+- hoa Or hoa = hoa — aOa ;donc Hoa = Sbh -+- hoa — aOa ;mais hoa = C, aOa = aC ;donc Soa = Sbh + C(l — a). La quantité G(l —
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