"L'oncle de l'Europe" devant l'objectif caricatural : images anglaises, françaises, italiennes, allemandes, autrichiennes, hollandaises, belges, suisses, espagnoles, portugaises, américaines, etc. . leNTRETILN dÉDOUARD VII ET DU Pour certains. — 2 Pour tels et tels. — 3. Pour quelques-uns. — 4. Pour tous (Fischietto, de Turin, mai 1903). «souverain virginal» faisant ses premières armes sous les ordres dugrand maréchal de lEurope, ne peuvent apparaître,, ici, quin-cidemment; nous les retrouverons plus nombreuses, et à leurvéritable place, lorsque nous constituerons le recueil des esta
"L'oncle de l'Europe" devant l'objectif caricatural : images anglaises, françaises, italiennes, allemandes, autrichiennes, hollandaises, belges, suisses, espagnoles, portugaises, américaines, etc. . leNTRETILN dÉDOUARD VII ET DU Pour certains. — 2 Pour tels et tels. — 3. Pour quelques-uns. — 4. Pour tous (Fischietto, de Turin, mai 1903). «souverain virginal» faisant ses premières armes sous les ordres dugrand maréchal de lEurope, ne peuvent apparaître,, ici, quin-cidemment; nous les retrouverons plus nombreuses, et à leurvéritable place, lorsque nous constituerons le recueil des estampespersonnelles à Alphonse XIII. Notons simplement cette tendance de la caricature à fairedu roi Edouard le conseiller, le grand chaperonneur des nou-veaux venus et des jeunes couples royaux. Il semble qvCJEdisoit le véritable arbitre des modes, usages et coutumes, quandil sagit dune démarche à faire, dun voyage à entreprendre,dune ligne de conduite à suivre. « Si on consultait oncle Mdi ! » ainsi conclut une image,laquelle nous montre de jeunes souverains très préoccupés par 108 loncle de leueope. LE VOYAGE DE LOTJB2T. Loûbe, — Lalliance avec la Russienous a coûté pas Mais la vôtre,Sire, est une autre paire de manche! {LUlustraùone Ilaliana, deMilan, 1903). arable, qui ne sest pas tou-jours montré pour tous,mauvais oncle, apparaît surcertaines images le Roi po-litique, le Roi devenu, au-tant que Guillaume II,un des préférés de lEu-rope, le Roi qui, très ga-lamment, toujours jeune,ne craint pas de faire lespremières avances à laR. F., en lui murmurant leclassique : mademoiselle,voulez-vous accepter mon une question détiquette que oncle JEdi a pour lui lalongue expérience du prince deGalles à laquelle il convient dajou-ter lauréole dont est entouré leroi Edouard VII. On na jamais trop dacquitpour devenir le souverain expéri-menté dune grande nation; — on esttoujours assez jeune pour faire unroi dopérette. A
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