. Bruxelles à travers les âges . leur procurait avantageusementle fumier nécessaire au terrain de nos environs. Beaucoup de familles pauvres gagnaient leurvie en ramassant du fumier sur la route. Cet article pourra, au premier abord, paraîtrepeu important. « Cependant on doit remarquer que cette classe dhabitants trouve par là lesmoyens de faire sa plantation de pommes de terre, sa principale et pour ainsi diresa seule occupation. « Nos fabriques de chapeaux, si florissantes autrefois, nos fabriques dhuile etautres travaillaient encore, le transport de leurs produits se faisant
. Bruxelles à travers les âges . leur procurait avantageusementle fumier nécessaire au terrain de nos environs. Beaucoup de familles pauvres gagnaient leurvie en ramassant du fumier sur la route. Cet article pourra, au premier abord, paraîtrepeu important. « Cependant on doit remarquer que cette classe dhabitants trouve par là lesmoyens de faire sa plantation de pommes de terre, sa principale et pour ainsi diresa seule occupation. « Nos fabriques de chapeaux, si florissantes autrefois, nos fabriques dhuile etautres travaillaient encore, le transport de leurs produits se faisant , éloignés de plus dune demi-heure du chemin de fer, sans que nousayons un embranchement ou même un relai, et privés des facilités quoffrait jusquicila route, comment pourrons-nous soutenir la concurrence des fabriques des villes etendroits où passe le chemin de fer? Or, le chemin de fer détruisant le roulage,faisant cesser le service des diligences et, par la modicité de ses prix, nous privant ■~% \S • v. t ^.- i. ±... .VC? ik duitutac. Cô/ «/« fameuse inven lion tout Je /neme g ne ce. c7ieni ms de fer/Ou/ f(jil un aulre^ Ca me fait /effet detre le Siècle Je ferj C-esl avec du fer gru on nous nitirc/ier, ef /a croix jtiir dessus fe marche. Alt. ! Ah ! farceur, je crois yrue lu fais des ca7ainùcurcjsf lu veux nous /e faire avaler //ou rtl ef un Soit. j^il W cuuXUy U*/£rti^ Aujcurëlli m au conlfaire tout estvajieury snausje creuns fcrlyue cela, jejierde en fumec oclra/vjie, dii un conducteur (on. i/\\A\f\^ukwi/) nous allons devenirrentiersnous autres ctvec nos chevaux et nosvoilures^ nous si a vonS rien- de m ceux a faire yruc de /es vendre 3 (^-*- D-e ^^ cl nous autres nous tnaTujero/2S de Ix Souy/e et t7avoine ? ~Z fê-t JA?à* CJt^cwuuk yuan ta. nous^noies /virons le /oui//on 4. (j/lti/ J\l\.oiAAAAAAJl ont je7i/ncn2 de Fa firalcyue jtour /e /iremierjoiir, et une société joyeuse ifs yieuve/tf It/en cÂan-fer Afa7lro
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