L'esculapédie; poëme divisé en huit chants par Mde S**** . ,^AO A AMSTERDAM. M. DCC. LVIT, 197/ E P I T RE A MONSIEUR REMONDDE SAINTE ALBINE, DE LACADEMIE ROYALE DES SCIENCES ET BELLES - LETTRES DE BERLIN, SEduifez, vils flatteurs, par de vaincsimages > Ces faftueux Mortels, ces coloffes dor-gueil ,Dont la faveur cache lécueiî, Où courent fe brifer vos impofteurs hom-mages. Efclaves déguifés , infedfces dangereux, Profanez vos pinceaux, célébrez vos ido-les , Rampez, nourrirez-vous defpérance& frivoles , Et foyez toujours malheureux» aij îv E PITRE. Dun fage, dun ami fidèle, Ceft aux craïon


L'esculapédie; poëme divisé en huit chants par Mde S**** . ,^AO A AMSTERDAM. M. DCC. LVIT, 197/ E P I T RE A MONSIEUR REMONDDE SAINTE ALBINE, DE LACADEMIE ROYALE DES SCIENCES ET BELLES - LETTRES DE BERLIN, SEduifez, vils flatteurs, par de vaincsimages > Ces faftueux Mortels, ces coloffes dor-gueil ,Dont la faveur cache lécueiî, Où courent fe brifer vos impofteurs hom-mages. Efclaves déguifés , infedfces dangereux, Profanez vos pinceaux, célébrez vos ido-les , Rampez, nourrirez-vous defpérance& frivoles , Et foyez toujours malheureux» aij îv E PITRE. Dun fage, dun ami fidèle, Ceft aux craïons du cœur de tracer leportrait : Ma reconnoiflance & mon zèle Puiflent-ils, cher Remond j animer cha-que trait. Mes Vers font ton ouvrage, & ma Mufe en fait gloire. A peine tu me vis côtoyer lHélicon , Et contempler au loin le Temple de Mé-moire , Que tu devins mon Apollon. Combien de fois , errant fur les bords . dHyppocrène, Trompé par de fautes couleurs % Jimaginai cueillir des fleurs ; Mais je te les montrois à peine,lesculapdiepo00colouoft


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