. Magasin théâtral. freux dont tu perças mon cœur. .Me voilà seule au ISABELLE. 11 te reste une sœur. 62 ROBERT BRUCE. EDITH. Ah ! je nai pins que BRUCE. Vous moubliez, niydanie. EDITH. Ah ! sire, pardonnez au trouble de mon â dit à lespérance un éternel ne peut désormais me LE PRIEUR, savançant. Et Dieu !Quau pied de ses autels son amour vous ceux qui ne sont plus vous pleurerez , suivez vos destins les appelle. [Edith , soutenue par Edith, marche avec elle jusquaux degrénqui conduisent au sanctu


. Magasin théâtral. freux dont tu perças mon cœur. .Me voilà seule au ISABELLE. 11 te reste une sœur. 62 ROBERT BRUCE. EDITH. Ah ! je nai pins que BRUCE. Vous moubliez, niydanie. EDITH. Ah ! sire, pardonnez au trouble de mon â dit à lespérance un éternel ne peut désormais me LE PRIEUR, savançant. Et Dieu !Quau pied de ses autels son amour vous ceux qui ne sont plus vous pleurerez , suivez vos destins les appelle. [Edith , soutenue par Edith, marche avec elle jusquaux degrénqui conduisent au sanctuaire. BRUCE. Allez, cœurs souffrants et deviez rayonner sur ce monde où nous caprices du sort et la fureur des hommesVous ont donné le cloître au lieu de ses splendeurs :Puissiez-vous y trouver loubli de vos douleurs!Et nous, guerriers, sil faut revoler aux alarmes,Deux anges sont ici qui prieront pour nos armes. FIN. loissy.— G. Olivier, imprimerie française et étrangè AtTl III, SrFNK XV LE MARI A LA CAMPAGNE, COMÉDIK EN TROIS ACTKS Jpûr MM. 6ogarî) et 3ulfi^ be iUotllg, RRVRKSENTFK JOUR LA PKEMIKRK FOIS, ,V PAKIS . SUR THÉATRK-rRANA»\VVVV\VVV -V •« ^, w«<vvvW%vv\ \v^?^AA V h^A^/v%«% ACTE PREMIER. Le théâtre représente un salon meuble dans un goût sévère ; porte à droite et à gauche, porte au fond, deux porteslatérales; sur le devant, à gauche, une table et tout ce quil faut pour érrire, un journal


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