Précis de la médecine pratique : contenant l'histoire des maladies & la maniere de les traiter, avec des observations & remarques critiques sur les points les plus intéressans . n propofe encore les injections aroma-*tiques & fortifiantes, ainli que les cataplafmes _,\ç.s fomentations , les linimens, les demi-bains ^ ÔCles lavemens y qui ont la même propriété : on amême vu , à cette occasion , de bons effets desbains froids. Tout le monde a entendu parler 656 Maladies internes ~~-*~ de la poudre de fouris, & de quelques autres re*i>uRiN.ï^e<ies de bonne-femme , que le degré de con-fiance
Précis de la médecine pratique : contenant l'histoire des maladies & la maniere de les traiter, avec des observations & remarques critiques sur les points les plus intéressans . n propofe encore les injections aroma-*tiques & fortifiantes, ainli que les cataplafmes _,\ç.s fomentations , les linimens, les demi-bains ^ ÔCles lavemens y qui ont la même propriété : on amême vu , à cette occasion , de bons effets desbains froids. Tout le monde a entendu parler 656 Maladies internes ~~-*~ de la poudre de fouris, & de quelques autres re*i>uRiN.ï^e<ies de bonne-femme , que le degré de con-fiance quon y attache , peut rendre fçait enfin quon a imaginé clivers injirumensqui, en comprimant la verge oc lurethre , em-pêchent lurine de couler; mais peu de genspeuvent en fupporter lincommodité. On a uféaufiî, pour les femmes, dun peflaire qui pro-duit le même effet ; mais on rencontre, de leurpart, la même difficulté. Je ne parle pas dedifférens vafes de cuir , de verre ou dargent,propres à recevoir lurine, que ceux qui veu-lent fe garantir de la mauvaife odeur, & de lamal-propreté 9 portent fans beaucoup de ré-pugnance». FLUXION DU BAS-Y ENTRE, Llvrel. 6^j FLUXION CATARRHALE DE LA VESSIE. CEsT ainlî , je crois , quon peut nommerune maladu Jin^ulurz de. la vc£hj que jaivue à un jeune homme de feize à dix-huit fut précédée par une iîévre rhumatifmaîegoutteufe, qui dura quatorze jours. Dans la re-chute , qui arriva le feptieme jour de la conva-lefcence, le malade fe plaignit dune douleur àla velîie , & de lardeur des urines qui com-mencèrent alors à être épaiffes , & à dépoferun fédiment blanchâtre & glaireux, qui devintdans la fuite ii abondant, malgré la cefîation en-tière des douleurs, quon le jugea pouvoir for-mer la quatrième partie au moins du volumedes urines. Cette féconde fièvre dura douzejours avec afTez de violence , & finit après cetemps 5 fans produire le moindre changementdu côté des uri
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