. Dictionnaire de physiologie. Physiology. 198 CÅUR. devenir an bout d'un assez long temps beaucoup plus faibles'et disparaître finalement tout à fait. Fano les a enregistrées pendant des journées entières sans interruption, au moyen d'un appareil spécial (jusqu'à treize jours). « 3° Dans quelques cas on peut observer une disparition totale du rythme fondamental, tandis que les oscillations de tonicité continuent. Le contraire peut aussi se présenter. Il est donc évident que les périodes du tonus et la fonction fondamentale sont indépen- dantes les unes de l'autre. « 4° Si les co
. Dictionnaire de physiologie. Physiology. 198 CÅUR. devenir an bout d'un assez long temps beaucoup plus faibles'et disparaître finalement tout à fait. Fano les a enregistrées pendant des journées entières sans interruption, au moyen d'un appareil spécial (jusqu'à treize jours). « 3° Dans quelques cas on peut observer une disparition totale du rythme fondamental, tandis que les oscillations de tonicité continuent. Le contraire peut aussi se présenter. Il est donc évident que les périodes du tonus et la fonction fondamentale sont indépen- dantes les unes de l'autre. « 4° Si les courbes de tonicité sont très accentuées, les oscillations fondamentales des reilleltes deviendront très faibles sur le sommet de chaque courbe tonique. H se peni. FiG. 52. â Oreillettes d'Jîniys europana f^uspendues en nit-me temps à deux leviers. As. Oreillette gauche. A-rf. Oreillette droite. Oscillations du tonus : les supérieures sont irrégulières, les inférieures, beaucoup plus r(^guliùres. Temps; 1/10 de seconde pour les signaux chronographiques {troi- sième ligne). Température : 16". (Fano.) même que les oscillations de tonicité deviennent tellement considérables, qu'elles ne laissent pour ainsi dire pas de place, au sommet, à la fonction fondamentale, de sorte que celle-ci disparaît complètement à cet endroit de la courbe. « 5° Les oscillations de tonicité, qui sont toujours la conséquence de la pression exercée sur le sillon auriculo-ventriculaire, sont très rarement perceptibles dans le ventricule. « 6° Fano affirme la nature myogénctiqiie des oscillations du tonus, et l'absence de ce phénomène dans les ventricules est, selon lui, l'expression d'une différence essentielle dans la nature de la fibre musculaire de ces deux régions cardiaques. t 1° Le sommet des oreillettes, privé de ganglions, lorsqu'il est excité durablement par une
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