. Bulletin de la Société géologique de France. Geology. 430 ÅHLERT. â PALÃOZOÃQUE d'eAUX-BONNES. 18 ITiarS série de granulations offrant une grande analogie avec Nereites Sedg- ivicki, Murch., tel que l'a figuré M. Barrois d'après des échantillons provenant du Bourg d'Oueil (Haute-Garonne) (1); tantôt elle est lisse et brillante par rapport au reste de la surface de la roche, caractère qui paraît exister chez plusieurs espèces, notamment chez iV". Olli - vanti, Murch., sans toutefois qu'il y ait identité avec cette dernière. Pour compléter la ressemblance qui existe entre la
. Bulletin de la Société géologique de France. Geology. 430 ÅHLERT. â PALÃOZOÃQUE d'eAUX-BONNES. 18 ITiarS série de granulations offrant une grande analogie avec Nereites Sedg- ivicki, Murch., tel que l'a figuré M. Barrois d'après des échantillons provenant du Bourg d'Oueil (Haute-Garonne) (1); tantôt elle est lisse et brillante par rapport au reste de la surface de la roche, caractère qui paraît exister chez plusieurs espèces, notamment chez iV". Olli - vanti, Murch., sans toutefois qu'il y ait identité avec cette dernière. Pour compléter la ressemblance qui existe entre la faune des ardoisières de Lia Bagès et celle du Bourg d'Oueil, nous citerons la présence, au musée d'Eaux-Bonnes, d'une plaque de schiste indi- quée comme provenant de Lalumine, schistes de Béost, et sur la- quelle se trouve un fossile paraissant appartenir au genre Byo- lithes. Ce fossile est désigné sous le nom erroné de Conularia pyra- midata; il mesure 9 cent, de long et rappelle la forme déterminée par M. Barrois sous le nom de Eyolithes cL simplex, Barrande; on remarque sur la même plaque de petites empreintes sub-circu- laires qui peuvent être considérées comme des opercules. Cette faune présente donc les plus grandes affinités avec celle que M. Mau- rice Gourdon a découverte au Bourg d'Oueil; M. Charles Barrois a comparé les couches de cette dernière localité à celles de Barran- cos et de San-Domingos, dans le Portugal, étudiées par M. Delgado, et à celles de la Thuringe, étudiées par M. Richter, couches que ces auteurs placent dans le Silurien moyen. L'analogie qui existe entre les couches du Bourg d'Oueil et celles de Lia Bagès, permettent évidemment d'assimiler les deux dépôts. Quant à l'hypothèse d'après laquelle ces schistes appartiendraient au Silurien, elle nous paraît discutable par suite de la place qu'occupent Fig. 1. â Poteriocri
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