Traité d'anatomie humaine . orps godronné. — Le corps godronn(, circonvolution rudi-mentaire, appartient, de o) fait, à la formation grise corticale : cest, comme nous le montre la figure 570 (o), cette poilionde lécorce qui délimite, en haut,le sillonde lhippocampe. décrit au corpsgodronné les trois couches suivantes(fig. 574), qui correspondent exactementaux trois couches ci-dessus décrites de lacorne dAmmon : 1° la couche molécu-laire : 2 la couche des grains; 3 la couchedes cellules p(jlymorphes. a. Couche moléculaire. — La couchemohculaire, la plus superficielle des trois,est imméd
Traité d'anatomie humaine . orps godronné. — Le corps godronn(, circonvolution rudi-mentaire, appartient, de o) fait, à la formation grise corticale : cest, comme nous le montre la figure 570 (o), cette poilionde lécorce qui délimite, en haut,le sillonde lhippocampe. décrit au corpsgodronné les trois couches suivantes(fig. 574), qui correspondent exactementaux trois couches ci-dessus décrites de lacorne dAmmon : 1° la couche molécu-laire : 2 la couche des grains; 3 la couchedes cellules p(jlymorphes. a. Couche moléculaire. — La couchemohculaire, la plus superficielle des trois,est immédiatement sous-jacente à la pic-mère. Llle renferme, outre quelf|ues cel-lules pyramidales éinigrées de la couchasuivante, des cellules de (iolgi à cylin-draxe court. (1\.îal distingue ces dernièrescellules en deux groupes : cellules super-ficielles, de volumes réduits, ovoïdes oufusiformes ; cellules profondes, beaucoupplus massives, de forme triangulaire ouétoilées. Leur cylindraxe se ramifie tou-. Fig. 574. Coupe transversale du corps godroniKi dunlapin de huit jours (iniitc de Gajal). couche moléculaire elle-même. La couchemoléculaire du corps godronné i^nferme I. couclic molôculaiic. — II, coiiclic des çiains. —Ul, couche dos cellules polymorphes. — iV, couchenioltculairc de la corne dAmmon. 1, 2, cellules de la couche moléculaire. — 3, graiu . ,. déplacé. — 4, si-ain. ~ 5, pjramidc à cylindraxe ascen- jOUrS SUr plaCC, JC VCUX dirC SC termine,dant. — G, cellule -à cylindraxe ascendant, constituant , i ? i- i-i i i les plexus supragranulairc et intergranulaire do par dCS arbonsatuîns llbrCS, daUS la— 7, autre cellule dont le cylindraxe ascendant se ramifiedans la couche moléculaire. — 8, 8, 8, celhiles à cylin-draxe descendant, allant à lalvcus. (Los cylindraxos sont indiqués par le signe -4 .) ici, comme dans les autres régions delécorce, un système de fibres tangentielles, semblables par leur direction,
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