. Dictionnaire de physiologie. Physiology. ARTERES. i:i /1.) On la fixe ;'i l'aido d'un fil placé dans ce but au début de l'oprralion. Il est bon, après avoir fait une doubI»> li^'alure, do nouer les dcnx cliers du lil avec lelui qui a étf' posé sur le bout p('Mii»liéri(iue de l'artrre. On en laisse pendi'c un au dehors dt- la plaie, ce qui permet, le cas échéant, de retrouver rapidenictit l'ai trre et d'y replacer la canule. Physiologie (Voir les articles ; Circulation, Vaso-moteurs, Pouls.). â Si l'on fait par la pensée des sections successives, paialièh's entre elles, du syst
. Dictionnaire de physiologie. Physiology. ARTERES. i:i /1.) On la fixe ;'i l'aido d'un fil placé dans ce but au début de l'oprralion. Il est bon, après avoir fait une doubI»> li^'alure, do nouer les dcnx cliers du lil avec lelui qui a étf' posé sur le bout p('Mii»liéri(iue de l'artrre. On en laisse pendi'c un au dehors dt- la plaie, ce qui permet, le cas échéant, de retrouver rapidenictit l'ai trre et d'y replacer la canule. Physiologie (Voir les articles ; Circulation, Vaso-moteurs, Pouls.). â Si l'on fait par la pensée des sections successives, paialièh's entre elles, du système artériel, en com- men(;aiit à l'aorte et en allant justiu'aux capillaires, la somme des surfaces comprises dans chaque section ira sans cesse en aujrmentant, et chacune de ces sommes est équi- valente à un cercle déterminé, La superposition de ces cercles constitue un cône (pii schématisera la capacité de l'ensemble des aitères, au^'mentant progressivement du cfi'ur à la périphérie. Un cône analogue est formé par l'artère pulmonaire et ses ramifica- tions. On voit que le sang chemine dans un ensemble de canaux de plus en plus larges jusqu'au lac formé par les ca])illaires. Il en résulte que le cours se ralentit de plus en plus et qu'il est à son maximum de lenteur l<i où les échanges doivent se produire (fig. o4, ). Les parois du cône artériel n'ont pas partout la même composition, ainsi que nous l'avons <léjà signalé. Ãlastiques au sommet, elles deviennent musculaires à la base ; 1 e deux tissus sont dans la partie moyenne en |iroportions à peu près égales. Leur présence détermine les deux pro- priétés essentielles des artères, ïéldSticitéeX lacontractilité. Ãlasticité artérielle. â L'élasticité des artères se ma- nifeste parles moditicalions de forme et de calibre qu'éprou- vent ces vaisseaux à chaque battemen
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