Journal Francoise 15 apr 1905 . ruro, Jeanne Scantland, Louis-Philippe 1 Celles du Prince-Edouard: « Bélanger, Eric Rov, Arthur St-Georgetown, Summerside, Char- George, Alfred Moreau, WiUrid s* guérir et de sabstenir de spiritueux. Cette médecine est maintenant à 1* por-tée de tous; le prix en ayant été ré effets étonnants uneitl* a produits surles ivrognes tes phss invétérés cités «acour correctionnel le à Ouebee et à Mont-réal prouvent «|we, r alcoolisme est nmm ma-ladie guérissable. Avec lapprobation du pnbKe et des go»-Yerneraetrts, et tes résultats constatés, tou-te expérimentatio


Journal Francoise 15 apr 1905 . ruro, Jeanne Scantland, Louis-Philippe 1 Celles du Prince-Edouard: « Bélanger, Eric Rov, Arthur St-Georgetown, Summerside, Char- George, Alfred Moreau, WiUrid s* guérir et de sabstenir de spiritueux. Cette médecine est maintenant à 1* por-tée de tous; le prix en ayant été ré effets étonnants uneitl* a produits surles ivrognes tes phss invétérés cités «acour correctionnel le à Ouebee et à Mont-réal prouvent «|we, r alcoolisme est nmm ma-ladie guérissable. Avec lapprobation du pnbKe et des go»-Yerneraetrts, et tes résultats constatés, tou-te expérimentation nouvelle serait supei-(lue. CwrespontSance strictement c»Hde»» A h& Leeming Miles Co., Ltd. 288 ni « St-Jacques. MwtruL Senls agents ponr la vent* d« lottetoWn. Foisy, Edouard. Faulkner, Juliette SPÉCIFIQUE du Dr MACKAY Les provinces maritimes sont les Ptdletier, Dora Joiuette, Laurenza m» i» d» provinces les plus rapprothées de la Lajoie, Charles Peachy. LACOOLISME. LE JOTTRSÏAL DE FRANÇOISE dans ses rêves davenir, elle remar- qui allaient former une mosaïquequa dun air rusé : sur la mousse veloutée. La mère —Le chalet des Saules te convieii- Orvanne, elle, insensible aux beau-. PREM1ERE PARTIEIII( Suite ) drait joliment !Il sourit.—Trop beau J—Trop beati ? a des manières tés de la nature,(mettait une éclair-cie lui permettant de dire un peu ceTrop cher ! dont son cœur était plein. Trop cher ? Il y -—Vois, Jacques, sécria-t-elle en-pour arranger les lin, droit devant-toi, entre un bou-choses. Les Dourif en sont proprié- quet darbres et une grande prairie,taires depuis que les Parisiens ont cest le moulin aux é la pays: —des coureurs, ces —Cette belle maison en briques etParisieones-là ! — Or, les Dourif sont pierres blanches ?très accommodants ; de plus, ils 1<a Paysanne eut un sourire dor-gueil. —Oui. cest quasiment un châ ont construit ça, lannée derniè-re, avec tou


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