Texte primitif des Lettres provinciales, d'après un exemplaire in-4 (1656-1657) ou se trouvent des corrections en écriture du temps; édcontenant outre ces corrections toutes les variantes des éditions postérieures . font meilleurs & plus amples que ceux des Editions précédentes deLyon des années 1644 &. 1646^. 1. — Lédition in-8° de 1659 et toutes les éditions suivantes ajoutent :Apres que ce père meut parlé de la forte, il me quitta. Nicole, dans sa versionlatine, na pas traduit cette addition. 2. — Les mêmes éditions : Où il y a à lentrée une image. 3. — Lédition in-S de 1659 et quelques-une


Texte primitif des Lettres provinciales, d'après un exemplaire in-4 (1656-1657) ou se trouvent des corrections en écriture du temps; édcontenant outre ces corrections toutes les variantes des éditions postérieures . font meilleurs & plus amples que ceux des Editions précédentes deLyon des années 1644 &. 1646^. 1. — Lédition in-8° de 1659 et toutes les éditions suivantes ajoutent :Apres que ce père meut parlé de la forte, il me quitta. Nicole, dans sa versionlatine, na pas traduit cette addition. 2. — Les mêmes éditions : Où il y a à lentrée une image. 3. — Lédition in-S de 1659 et quelques-unes des éditions postérieuresajoutent à ce P. S. les lignes suivantes, qui ne sont sans doute pas de Pascal :Depuis tout ceci on en a imprimé une nouvelle édition à Pans chej Pigct. plusexacte que toutes les autres. Alais on peut encore bien mieux apprendre les fcn-timents d^Efcobar dans la grande Théologie Morale dont il y a déjà deux volumesin-folio imprimés à Lyon. Ils font très dignes dêtre vus pour connaître lhorriblerenverfement que les Jéfuites font de la morale de lEglife. Nicole na traduit nile P. S. de Pascal ni laddition qui y a été faite. )rCc~J ~ ? A^. w=^ -^^=m î =^==^1^ NEVVIEME LETTRE ESCRITTE A VN PROVINCIAL TAR VN DE SES AMIS De Paris, ce 3 luillec 1656. MONSIEVR, le ne vous feray pas plus de compliment que le bonPère men fit la dernière fois que ie le veis. Auffi-toft quilmapperceut, il vint à moy, & me dit en regardant dans vnliure quil tenoit à la main : Qui vous oiiiiriroit le Paradis, nevous obligeroit-il pas parfaitement ? Xe donneriei-voiis pas lesmillions dor pour en auoir jnie clef, & entrer dedans quandbon vous fembleroit ? Il ne faut point entrer en de fi grandsfrais, en voicy vue, voire cent, à meilleur compte. le ne fçauoisfi le bon Père lifoit, ou sil parloit de luv-mefme. Mais ilmofta de peine en ditant : Ce font les premières parolesdvn beau liure du P. Barry de nollre Société ; car ie ne disia


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