. Les Français peints par eux-mêmes . LE so(:ii:t/VIRE DE LA : : L. COUAILHAC -«.^—. M. Aristide a long-lemps ipiiu le haiiloni|ilni (11 tragoilie etcomédie d;s divor-^es troupes dnrron-dissemcnl : Angers,Diinlierqiie, Bayonne,Saiiil-Flour. Limoges,Tours et Brives-la-Gaillarde lui ont tour1 tour tressé des cou-ronnes et adressé deyielils vers tout [larfumés desprit se passaitsous lEmpire, et les triomphes de M. Aristide coïnci-daient de fnçon merveilleuse avec ceux du plus grandcapitaine des temps modernes. Au même moment oùVienne etBerlin ouvraient leurs port
. Les Français peints par eux-mêmes . LE so(:ii:t/VIRE DE LA : : L. COUAILHAC -«.^—. M. Aristide a long-lemps ipiiu le haiiloni|ilni (11 tragoilie etcomédie d;s divor-^es troupes dnrron-dissemcnl : Angers,Diinlierqiie, Bayonne,Saiiil-Flour. Limoges,Tours et Brives-la-Gaillarde lui ont tour1 tour tressé des cou-ronnes et adressé deyielils vers tout [larfumés desprit se passaitsous lEmpire, et les triomphes de M. Aristide coïnci-daient de fnçon merveilleuse avec ceux du plus grandcapitaine des temps modernes. Au même moment oùVienne etBerlin ouvraient leurs portes à Napoléon, Quim-pcr-Corentin et Pézénas recevaient dans leurs murs Tituset llippolyte. Mais bientôt le répertoire de MM. Scribe, Auber, Pla-nard, Mélesville, etc., vint remplacer en province le vé-nérable répertoire classi(|ue; les cunceltiet les llonQonssuccédèrent aux longues tirades. Les directeurs furent obligés daller demander auxcorrespondants dramatiques des (javauilan. des Gonihier et des Léonlinc lny, au lieu de se fournirclicz eux de soubrettes, d
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