. Bulletin de la Société botanique de Genève. astantavec eux par sa coloration affaiblie. Cest à ce moment surtout et plustard, pendant toute la durée de leur fonctionnement que les antipodeslaissent voir ces fortes altérations de leurs noyaux qui vont cons-tamment en saccentuant (fig. 5). 80 BULLETIN DE LA SOCIETE BOTANIQUE DE GENEVE (16) Dans les stades plus tardifs ces noyaux subissent, autant quon peutsen rendre compte daprès les apparences que prennent parfois lesnucléoles, une fragmentation. On les voit apparaître alors sous formedamas ou dentassements volumineux et désordonnés. De calib


. Bulletin de la Société botanique de Genève. astantavec eux par sa coloration affaiblie. Cest à ce moment surtout et plustard, pendant toute la durée de leur fonctionnement que les antipodeslaissent voir ces fortes altérations de leurs noyaux qui vont cons-tamment en saccentuant (fig. 5). 80 BULLETIN DE LA SOCIETE BOTANIQUE DE GENEVE (16) Dans les stades plus tardifs ces noyaux subissent, autant quon peutsen rendre compte daprès les apparences que prennent parfois lesnucléoles, une fragmentation. On les voit apparaître alors sous formedamas ou dentassements volumineux et désordonnés. De calibres etdaspects des plus variables, ces corps nucléaires se groupent de tellesorte quils rendent les antipodes presque méconnaissables. En effet,on ny peut plus reconnaître de structure cellulaire et le plasma nyétant pas réparti dune façon homogène, elles deviennent très lacu-neuses, se vident même du cytoplasma à leur partie supérieure, alorsque les noyaux ou plutôt les fragments nucléaires, au lieu doccuper M >. O^.. • ;& vv ;.; ,©? v??*?;?? --?- t.*:* Fig. 5. — Suite du stade représenté en 4. 0 leur région centrale, tendent à se disséminer un peu partout. On nesait pas vraiment si quelque mode de division leur est encore se fait cette fragmentation? Nous navons pu le constater (47) R. JACOBSON-PALEY. DU SWERTIA LONG1FOLIA 81 dune manière certaine. Elle se serait opérée en tous cas assez rapide-ment pour que nous ne puissions la saisir sur le fait. Il ne sera peut-être pas sans intérêt dindiquer quelques opinionsémises à ce .sujet. Arrêtons-nous tout dabord un instant sur létude deGuignard1, consacrée aux antipodes (ÏHepatica triloba. Nous nepouvons mieux faire que de reproduire les quelques lignes qui nousintéressent plus spécialement dans cet ouvrage : « On ne voit pas lesnucléoles, dit Guignard, sallonger en forme de biscuits, ni la substancedu noyau présenter un étranglement médian, comme il ar


Size: 1605px × 1557px
Photo credit: © Reading Room 2020 / Alamy / Afripics
License: Licensed
Model Released: No

Keywords: ., bookcentury1900, bookdecade1900, booksubjectbotany, bookyear1909