Cham . Tiens, Lolo, voilà un lièvre, tire-le. ^ ? Oui, papa. Tourne-toi de lautre côté , papa, sa vue me troublerait peut-être. — .411 ! mon dieu ! lours qui vient davaler monpauvre chien que jaimais tant. — Console-toi, mon ami, cette séparation ne peutêtre longue, tu vas aller le rejoindre tout à lheure ; unpeu de patience, un peu de patience !. — plie .Malluniii, viiii- ( li,i--i/. sans tliietr? — Mais, oui; avant ilr partir |(^ me bourre avec delàsoupe , quiind miu> avez ça dans le vi nlre,li-s lapins boiil après vous loulr inuruér. GAiiDE.—Madame,vous nav
Cham . Tiens, Lolo, voilà un lièvre, tire-le. ^ ? Oui, papa. Tourne-toi de lautre côté , papa, sa vue me troublerait peut-être. — .411 ! mon dieu ! lours qui vient davaler monpauvre chien que jaimais tant. — Console-toi, mon ami, cette séparation ne peutêtre longue, tu vas aller le rejoindre tout à lheure ; unpeu de patience, un peu de patience !. — plie .Malluniii, viiii- ( li,i--i/. sans tliietr? — Mais, oui; avant ilr partir |(^ me bourre avec delàsoupe , quiind miu> avez ça dans le vi nlre,li-s lapins boiil après vous loulr inuruér. GAiiDE.—Madame,vous navo/. pasde pori darme,je vou> nuis la main au collel. L\ OAMH. — .Mon ami, je vous en déde !... Vousny arriverez, jamais, mon (lur ! \
Size: 2288px × 1092px
Photo credit: © The Reading Room / Alamy / Afripics
License: Licensed
Model Released: No
Keywords: ., bookcentury1800, bookdecade1850, booksubjectcaricat, bookyear1853