Cologne . de lémaillerie rhénane. Saint-André quipossède les reliques ducélèbre Dominicain Al-bert le Grand est uneéglise toute françaisedaspect, remarquablepar un sens délicat desproportions, parJamou-luration et-Lornementa-tion des , parmi les égiisesparoissiales, une. desplus intéressantes estSainte- Marie-de-Ly&-kirchen qui date ducommencement du XIIIesiècle; cest une petiteéglise de proportionsécourtées qui, commetoutes les églises rive-raines, tourne du côtédu Rhin une abside pit-toresque flanquée dedeux tours, dont luneest restée à létat detronçon. Il arrivait parfois au
Cologne . de lémaillerie rhénane. Saint-André quipossède les reliques ducélèbre Dominicain Al-bert le Grand est uneéglise toute françaisedaspect, remarquablepar un sens délicat desproportions, parJamou-luration et-Lornementa-tion des , parmi les égiisesparoissiales, une. desplus intéressantes estSainte- Marie-de-Ly&-kirchen qui date ducommencement du XIIIesiècle; cest une petiteéglise de proportionsécourtées qui, commetoutes les églises rive-raines, tourne du côtédu Rhin une abside pit-toresque flanquée dedeux tours, dont luneest restée à létat detronçon. Il arrivait parfois aumoyen âgequune mêmeéglise fût affectée à lafois au chapitre duncouvent et au servivede la paroisse ; maison préférait habituelle-ment juxtaposer à uneéglise collégiale unepetite église ainsi que Sainte-Brigitte sadossait au côté sud de Saint-Martin-le-Grand et que la petiteéglise Saint-Christophe souvrait à côté du chœur de Saint-Géréon : de. Abside de léglise Saint-Sévetin. 4-1 COLOGNE dises doubles si curieusement accouplées il ne subsiste plus que legroupe Saint-Pierre-Saintt C . ile. I oute la région qui entoure Cologne est très riche en églises romanes : parmi Les plus belles, il convient de citerlancienne abbaye bénédictine de Brau-Wi iler, fondée en 1024 parle comte pala-tin Ezo, gendre de lempereur Othn rivalisaitau moyen âge aveclesgrandscouvents de Cologne, limposante cathé-drale de Bonn hérissée de flèches aiguë léglise Saint-Quirin de Neuss quireproduit le plan tréflé de Sainte-Mariedu < apitoie Bien que toutes ces églises aient cha-cune leur beauté propre, elles présententcependant des traits communs qui leurdonnent un air de famille et leur cons-tituent dans le groupe des églises romanesune physionomie à part. Le trait dominantde cet art est la persistance de la tradi-tion latine et carolingienne, la continuitéqui saffirme entre larchitecture romaineet larchitectu
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