Tribut académique en vers et en prose, dédié à son Éminence monseigneur le cardinal Passionei . fentimentque fy foutiens ne choquera que le préju- i^fmun, «|»pKfcJ7»m-M««Me»JlMKi gw^**^*^—*—^^^——^——^—MoBanan !? I iIiiIiUlm* Avertissement. ^é y tout homme raifonnahle en convien-dra, y ai placé a leur fuite , une traduc-tion libre du Vfeaume Super flumina Ea-bilonis , &c. Ce Vfeaume via paru convenir a monfujet , // peint Pétat de FEglife au mi-lieu des impies. Les gémiffemens des vraisChrétiens furent ^ fans doute ^ figurés parceux des Ifraélites infultés par les Gen-tils, Les Vfaumes , à
Tribut académique en vers et en prose, dédié à son Éminence monseigneur le cardinal Passionei . fentimentque fy foutiens ne choquera que le préju- i^fmun, «|»pKfcJ7»m-M««Me»JlMKi gw^**^*^—*—^^^——^——^—MoBanan !? I iIiiIiUlm* Avertissement. ^é y tout homme raifonnahle en convien-dra, y ai placé a leur fuite , une traduc-tion libre du Vfeaume Super flumina Ea-bilonis , &c. Ce Vfeaume via paru convenir a monfujet , // peint Pétat de FEglife au mi-lieu des impies. Les gémiffemens des vraisChrétiens furent ^ fans doute ^ figurés parceux des Ifraélites infultés par les Gen-tils, Les Vfaumes , à les Cantiques fui-vans font ^ ft fofe le dire y des Pièces juf-tîficatîves de mon difcours fur la Poëlîefacrée. Rien ne décide plus fouveraine-. ment que ces fortes de preuves, combien laReligion efl fufceptible de la belle Voéfie,Il fallûit des Rollin & des Roujfeau pourfournir de pareilles pièces : F un a méritéle titre de Poëte François , Ô rautre ce-lui de Grand Maître. Ce dernier donnedes règles , ô* Vautre les met en ?MlilliBf» Avertissement. Le fentiment que je défends ejl donc fon-dé fur des préceptes avoués^ Ô fur desexemples convaincans, y ai encore ajoutéquelques Voéfies de M. Le Fr^72r, quirenferment des beautés lien capalles d^a-nimer nos jeunes Poétes ^ éf de les portera marcher fur des traces fi dignes d* ! Si dépouillés des préjugés derEcole , ils penchent enfin vers la raifon ,Ô sattachent a Vunique vérité / ? l if ? ^ - Mmmaâitâiun^ ruM—awanrn< i ? ? wiiiiaiwiiiaiM—B—gaai DISCOURS daii DISCOURS SUE LA POESIE. lf|^té|fiMPtETÊ gagne tous les*A L t^ états, lirréligion croît dejMs-^s$0 jour en jour , les loix fontviolées , les Souverains font infoltés ,la décence & la pureté des moeursfont méprifées , rhomme eft dégradé,il eft avili, fos droits font méconnus ;les gémiffemens des gens de bien ré-tentiffent de toutes parts , lhumanitéfrémit & le
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