Histoire de la pharmacie à Avignon du XIIe siècle a la révolution (notes et documents inédits) ... . solidum, tam ab emptorc, quamvend i tore. De couperose ou , tant blanches que noires. De litarcre. De parrefinc. De garipot. Dorpiment. Damidon. Dorchanette. De noisilles, si?;e toute sorte de figues. De cappres. Du pastel. De cenigret (fenugrec). De garence. De céruse. De toute sorte de papier. De raysins. Ge payera deux liards pour chaquecent de toutes autres drogues. Et six sols tournois pour chaque ballede poyvre. De noix cannell


Histoire de la pharmacie à Avignon du XIIe siècle a la révolution (notes et documents inédits) ... . solidum, tam ab emptorc, quamvend i tore. De couperose ou , tant blanches que noires. De litarcre. De parrefinc. De garipot. Dorpiment. Damidon. Dorchanette. De noisilles, si?;e toute sorte de figues. De cappres. Du pastel. De cenigret (fenugrec). De garence. De céruse. De toute sorte de papier. De raysins. Ge payera deux liards pour chaquecent de toutes autres drogues. Et six sols tournois pour chaque ballede poyvre. De noix Et se payera quatre sols tournois dechaque balle de graines de meguin. Et pour chaque balle de quatre quin-taux de cire, quatre sols tournois, detout sucre et cassonade, du coton, deuxsols tournois. Dencens, deux sols tournois. Et pourchaque quintal dargent vif, un sol tour-nois. Et pour chaque balle de soye, unëcu, etc., Et voulons que lesdites taxes puissentestre entièrement et solidairement exi-gées, tant de lachepteur, que du CHAPITUE Vlll La lutte des Apothicaires et des Médecins LES BREVETS DE MAITRES-APOTHICAIRES. REPRESSION DE leXERCICE ILLÉGAL DE LA PHARMACIE. De toui temps, les relations ont été très tendues entre les médecinset les pharmaciens, comme aussi entre les médecins et les cause de cet antagonisme était que les barbiers et apothicairesétaient des concurrents pour les médecins, et pratiquaient largement lamédecine, au lieu de se confiner dans les limites de leur art. Les prati-ciens dxVvignon ne paraissent pas avoir fait exception à la règle. Vers i656, la crise atteignit son paroxysme. Le primicier de lUni-versité venait de renouveler la défense dexercer la médecine, souspeine dune amende de vingt-cinq marcs dargent, conformément àlarticle 9 des statuts de la Faculté, a toute personne non diplômée parlUniversité. Mais alors les deux corporations se li


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