La vie privée d'autrefois : arts et métiers, modes, moeurs, usages des parisiens du XIIe au XVIIIe siècle d'après des documents originaux ou inédits: L'enfant . non H, composé de 10 dents, et qui engrènedans la roue GO qui en a Gl. Il faudra doncà celle-ci, pour faire un tour complet, que lepignon H ait fait le sien, et les dents de luncombinées avec celles de lautre donnent lenombre 366. Le pivot L, qui est guidé parcette roue, guide lui-même la colonne qui faitainsi chaque jour la 366* partie de son tour . Nous voyons ici, pour la première fois,employer dans la construction des clepsydresles
La vie privée d'autrefois : arts et métiers, modes, moeurs, usages des parisiens du XIIe au XVIIIe siècle d'après des documents originaux ou inédits: L'enfant . non H, composé de 10 dents, et qui engrènedans la roue GO qui en a Gl. Il faudra doncà celle-ci, pour faire un tour complet, que lepignon H ait fait le sien, et les dents de luncombinées avec celles de lautre donnent lenombre 366. Le pivot L, qui est guidé parcette roue, guide lui-même la colonne qui faitainsi chaque jour la 366* partie de son tour . Nous voyons ici, pour la première fois,employer dans la construction des clepsydresles roues dentées; nous allons maintenant yvoir figurer une chaîne, un cadran et uneaiguille. Il suffit de jeter les yeux sur la clepsydresuivante pour en comprendre le mé de côté le tambour ODL qui est des-tiné à reproduire linégalité des heures; on lereprésente hors de la boîte, mais il sy emboî-tait exactement. A mesure que leau montedans le réservoir H, elle élève la cloche deliège I; cette cloche tient à une chaîne légère Voy. le Traité darchitectiite de ViTRUVE, traJuit otcommenté par Gli. PerraulTj p. 22 ^ pignon î^Ce pigncroue I, fopignon Hdans la ^à celle-cpignoncombintnombrecette roiainsi cbî^ousemployles rou^voir figaiguilleIl susuivanULaissontiné à rrepréseïtait exidans leliège I -, 1 Voy commen LA MES LUE DL TEMPS. 25 qui, entortillée autour de laxe de laiguille,communique le mouvement à celle-ci. La première clepsydre qui paraît avoir ëtevue en France serait celle que Théodoricenvoya, vers lan 500, à Gondebaud, roi deBourgogne. Elle avait été construite par Boèce,et leau tombant goutte à goutte y indiquait lecours des beures, « aquis guttantibus borarumspatia terminantur . » Les Bourguignons émer-veillés ne pouvaient comprendre ce pbéno-mène; ils firent surveiller Fborloge, afin desassurer que personne ny toucbait, et envinrent à croire quelle était intérieurementanimée par quelque d
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