. Histoire metallique de la republique de iftredutres^wn î{$y d^Efpagne Philippe Second, four avoir appaiséa[édition, cha0les B^hlles > réaMy la B^ligion, fait1 ^eurir la ^uftice, èf* ajfunUapaix dam les Provinces* Ce lùperbe trophée augmenta la haine publique contfe:€ Duc ; car le plus fenfible outrage quon puifïè faire auxnalheureuxeft de triompher avec inlblencedelamilère^uon leur a caufée. Limpofîtion quil établit du dixiétne denier des Marchandifes, qui feroient vëiidues, jettales peuples dans le defelpoir. Le Duc fit fraper cette Médaille en UvcS&jmêcmil cinq cens Ibixante-
. Histoire metallique de la republique de iftredutres^wn î{$y d^Efpagne Philippe Second, four avoir appaiséa[édition, cha0les B^hlles > réaMy la B^ligion, fait1 ^eurir la ^uftice, èf* ajfunUapaix dam les Provinces* Ce lùperbe trophée augmenta la haine publique contfe:€ Duc ; car le plus fenfible outrage quon puifïè faire auxnalheureuxeft de triompher avec inlblencedelamilère^uon leur a caufée. Limpofîtion quil établit du dixiétne denier des Marchandifes, qui feroient vëiidues, jettales peuples dans le defelpoir. Le Duc fit fraper cette Médaille en UvcS&jmêcmil cinq cens Ibixante-onze. LeDuçdAlbe. f ërdiî^îandus toletanus alb^ pu:^^ BeLGItE PRiîîFECTUS;lÉE^mAND DE TOLEDE VUC DALBE Gouverneur des Faphas* ^n -Lion & deux Grues foûtenans un flambeau; D E a ET R E G I. A Dieu ^ au ^oy. Pour mfontret que ïe Diib âvoit par Ibn courage, fcsfoins & ik vigilance maintenu la Religion Catholique ;nêtably. lautorité du Prince & étouffe U rébellion dans les^ Çays-bas» IIi îG H I St OIR. gf72. ir L ny a point de felbleflc plus commune parïny iéè*~ • I hommes que le défaut de modération dans laproipe--*- rite, ilnyenapointaulîî qui échappe moins au châ-timent quelle mérite. Le Duc dAlbe qui croyôit avoirentièrement fournis les Flamans par la terreur de fes for-ces & des Inppliees, fe mit en fureur de la réfîftance quiltrouva dans Bruxelles au iùjet du dixième denier. Iltraita les Habitans de rebelles & les menaça de la dernièrerigueur sils nobéïfîbient aux volontez du Roy. En effetvoyant quils sobftinoient à ne point payer, ilavoitré-Iblu deîriployer les dernières violences & de faire pendreles principaux Bourgeois à leurs portes. Ses Soldats a-voient déjà pris les armes, les Bourreaux étoient prêts, &les chofes fe diij?ofoient a une horrible & fànglante trage-^die quand la nouvelle de la fîirprife de la Brille enHolIan-de arrêta les lùpplices quil avoitordonneXi Ce fbt Je pre-mier dAvril mil cinq
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