. Histoire littéraire de la France; ouvrage commencé par des religieux bénédictins de la Congrégation de Saint Maur, et continué par des membres du l'Institut (Académie des inscriptions et belles-lettres). ici; nous lui emprunterons toutefois quelques versqui peuvent être utilement rapprochés de certains passages cités plushaut. Lauteur, parlant du jugement dernier, sexprime ainsi : Por Dieu, sigiior, dont ke feront Biautés, cointise ne rikece? Cil ki et siècle poi bien font Nenil, se par Dieu nest donùe, Quant venra a ce! Ja ni iert nule riens contée Li vauront auques li parent, Pa


. Histoire littéraire de la France; ouvrage commencé par des religieux bénédictins de la Congrégation de Saint Maur, et continué par des membres du l'Institut (Académie des inscriptions et belles-lettres). ici; nous lui emprunterons toutefois quelques versqui peuvent être utilement rapprochés de certains passages cités plushaut. Lauteur, parlant du jugement dernier, sexprime ainsi : Por Dieu, sigiior, dont ke feront Biautés, cointise ne rikece? Cil ki et siècle poi bien font Nenil, se par Dieu nest donùe, Quant venra a ce! Ja ni iert nule riens contée Li vauront auques li parent, Par amparlier Force, valors ne grant noblece, Comparez ces vers insérés dans la version de YHislovia monachorum(ci-dessus, p. iy 5) : Des ! que porront il devenir ? Seront [tresjtotes lor paroles. . Feront il emparliers venir ? Ni valront rien li eritage Nenil certes : vaines et foies Ne li pris de chevalerie. I De notice détaillée de ce manuscrit a J Ce manuscrit, qui nest que du XV* siècle, été publiée dans les Notices et extraits, XXXV, na pas été mentionne dans la notice citée à la 435-5lO. Pour la vie de sainte Marthe, voir note précé 5oo-5o3. w L. I., p. VERSIONS FA MtOSK DES VIES DES PERES. 289 Il y a, dans le prologue de la vie de sainte Marthe, une indicationprécise des circonstances dans lesquelles cette légende a été mise enfrançais : Knsi le commande ma dame,Cui Die\ garisse cors et aine,Kl iiït merchi de son bon père,Ki lu et qnens et emperereDe Constantinople le grant, lA (le sa mère le vaillant,Ki lu très jentils daine et sainte;Onques de li ne fisent plainteA Dieu les glises ne les gens,Vins lorfist mains biaus dons el jens1 Baudouin, comte de Hainau et de Flandre, empereur de Constan-tinople en 1204, mort en 1206, laissa deux filles, Jeanne et Margue-rite, qui furent lune après lautre comtesses de Hainau et de Flandre,la première après la mort de son père, de 1206 à 12 44, la secondede 1^44 à 1280. Si n


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