. Contribution a l'étude des Ãpicarides les Bopyridae. Bopyridae; genealogy. 11 â. Les Åufs des Ãpicarides sont relativement gros et munis d'un xilellus très abondant, généralement très coloré. C'est cette coloration des Åufs qui. le plus souvent, détermine la couleur dominante de la femelle adulte. Nous avons montré, le professeur Giard et moi, que la segmentation était inégale et holo- blastique dès les premiers stades, oîi l'endoderme parait formé de blastoméres gros et colorés, entourés de petites cellules endodermiques transparentes. L'épibolie, quia consiïlné Vrrmpk/Mo


. Contribution a l'étude des Ãpicarides les Bopyridae. Bopyridae; genealogy. 11 â. Les Åufs des Ãpicarides sont relativement gros et munis d'un xilellus très abondant, généralement très coloré. C'est cette coloration des Åufs qui. le plus souvent, détermine la couleur dominante de la femelle adulte. Nous avons montré, le professeur Giard et moi, que la segmentation était inégale et holo- blastique dès les premiers stades, oîi l'endoderme parait formé de blastoméres gros et colorés, entourés de petites cellules endodermiques transparentes. L'épibolie, quia consiïlné Vrrmpk/Morula, continue et aboutit à une in/t/j/>/- (jastrula à symétrie axiale, à cavité arcbentérique très nette s'ouvrant en debors par un blastopore. La symétrie axiale disparait alors et l'embryon devient bi-latéral, s'allonge et ac([uiert la forme typique bien connue des embryons d'Isopodes à concavité dorsale ; la métamé- risation s'accentue et les appen- dices apparaissent (f'ig. 11. Ce stade est celui qui se prolonge le plus longtemps et ([ue l'on ren- contre le plus fréquemment par conséquent. C'est à lui que nombre d'Ãpicarides ont dû d'être reconnus d'une façon formelle comme des Isopodes, alors que l'adulte, complètement déformé, ne pouvait donner qu'avec les plus grandes difficultés des renseignements sur sa véritable place dans lu systématitiue. Dès ce stade, l'aire ventrale de l'embryon se métamérise et les rudiments des appendices cépbaliques, thoraciques et abdominaux s'ébaucbent et deviennent reconnaissables ; le tube digestif se différencie de la masse endoderniifiue qui torme deux parties allongées, parallèles, en dessus du système nerveux, der- rière la masse cépbalique : elles constituent bientôt deux tubes qui se soudent à leur partie antérieure et forment ce qu'on a appelé les tubes bépati(iues. Cet organe,


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