Œuvres diverses de M L de Chaulieu . aufouper y en Février 170^. V^ Uc ce réduit eft agréable !Mille plaifirs, nulle façon ,Lhôteffe en eft toujours aimable ; Et le nomDe noire cher ArchitriclinRime au bon vin. Amîs > buvons à h Nature,Dont nous fuivons les douces loir;Difciple aimable d*Epicure, Duc de Foix,Bois, Anacréon de nos jours, A CCS amours* dâ M, L. de ChauUeu» yc^f Perigny , bois à ca maîtrcffe ;Porte, au forcir de ce repas ,Les fureurs dune double y vrcffc Dans fcs bras ;Imprime aux rofes de fon tcinc Lodeur du vin. Pour toi, père de la moleffe, Arbitre de la volupté , La Farre,
Œuvres diverses de M L de Chaulieu . aufouper y en Février 170^. V^ Uc ce réduit eft agréable !Mille plaifirs, nulle façon ,Lhôteffe en eft toujours aimable ; Et le nomDe noire cher ArchitriclinRime au bon vin. Amîs > buvons à h Nature,Dont nous fuivons les douces loir;Difciple aimable d*Epicure, Duc de Foix,Bois, Anacréon de nos jours, A CCS amours* dâ M, L. de ChauUeu» yc^f Perigny , bois à ca maîtrcffe ;Porte, au forcir de ce repas ,Les fureurs dune double y vrcffc Dans fcs bras ;Imprime aux rofes de fon tcinc Lodeur du vin. Pour toi, père de la moleffe, Arbitre de la volupté , La Farre, élevé de Lucrèce , Ta fantéVole aux deux bouts de Tunivers , Avec ces Vers. Avec la mine & le courage ,Grand- Prieur, du Dieu des combats ,Quil eft doux davoir en partage Les apasDe celle, de qui les beaux yeux Charment les Dieux/ Mais ce qui te rend plus aimable/C*eft ton amitié pour le vin 5 400 oeuvres diveffes Ec que toujours charmant à table ^ Le matin,Tu trouve entre les ris, ks jeux, Plus badin queux*. POUR de M. L. de Cfjaulîeu, 4^1 PQUR Me. DE LAS^*^ J E vous trouve fort aimable ,Mais je crains votre air mutin jPour un amant libertin,Il faut maicreffe craitable :Quanâ lamour vous aprit à chanter tendrement j|Il voulut dès ce,momentMe foumctcre à votre empire jJe me fouviens quautrefoisCe fripon , pour me féduire ,Emprunta de Théone & la grâce &la voix ;Mais fi je cherche à vous plaire,Q^uand, comment, me pairez-vous ?Ceft-là le point, entre nousQui réglera cette affaire ?L*Amour me dit aflez que vous éces mon fait ^Ajoutez à cela quelque prix qui mengage :Il neft quun méchant valet,Qui veuille fcrvir fans gage. Tom. II. Ce d^Ol O^Wiires diverfes E P I T R E POUR ETRENNE A MADAME ;Le premier jour de lAn 1700; x\ Utrcfois lamour vainqueur ,Dans mon coeur, Aujourfl*huî teût étrenée ; Mais ilcft mort lautre anné douleur* Retire un enfant lî beau Du tombeau; Ceft fa mère qui ten convie ; Et mieux en feras fervie , De nouveau
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