. Variétés sinologiques. PI. VI.—Keou-teou et Kiao-pai. laisse pendre dune manière naturelle. (PI. III, VI.) Cette salutation peut être employée pour tout le monde, ses propres parents exceptés. Cest c % i jâ jnn-tchou li, cérémonie entre visiteur et maître de maison, qui peut être employée môme par un élève envers son maître dans les relations ordinaires. Au nord, les plus grossiers paysans la font entre eux, ny eût-il quun seul jour quils se fussent rencontrés. (PI. IV.) CHAP. II. DES SALUTATIONS. G. La cinquième espèce de salutation fl* Pp ta-keou, est unesimple génuflexion; elle nest emplo
. Variétés sinologiques. PI. VI.—Keou-teou et Kiao-pai. laisse pendre dune manière naturelle. (PI. III, VI.) Cette salutation peut être employée pour tout le monde, ses propres parents exceptés. Cest c % i jâ jnn-tchou li, cérémonie entre visiteur et maître de maison, qui peut être employée môme par un élève envers son maître dans les relations ordinaires. Au nord, les plus grossiers paysans la font entre eux, ny eût-il quun seul jour quils se fussent rencontrés. (PI. IV.) CHAP. II. DES SALUTATIONS. G. La cinquième espèce de salutation fl* Pp ta-keou, est unesimple génuflexion; elle nest employée, paraît-il, que par les serviteurs,tels que les Zl ffî eul-yê par exemple, envers leurs maîtres. Plusieursaffirment néanmoins quelle est faite aussi par les mandarins inférieurs. PI. VII.—Rite du mariage,(les sous-préfets, par exemple) envers quelquun des grands supérieuresdirects {Tao-tai, Fan-tai), lorsquils font le ffr *£ tsing-ngan (sou-haiter le bonjour). Les Européens nont pas à en faire usage. (PI. V.)7. Enfin la sixième manière de saluer est une prostration dite fjff ki-chcou, ou PPIJï kcou-tcou. Elle consiste tout dabord à sagenouil-ler a terre, puis à élever les deux manches jointes à leurs extrémités,
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