Annales de géographie . -graphique 191.^ 191-,, n° 1100 . 2. En pré.senlanl celle étude, je tiens à adiesser à M L. Miiazkc mes remercie-inenls respectueux pour mavoir facilité dune manière si efficace mon travail surle terrain, grâce à des subventions ipiil ma fait obtenir de linstitut Géologiquede Bucarest. Jai publié mes observations géologiques dans les Cotuples émie des Sciences (CLVII, 2 scm. 19i:5, p. 347-349; CLX, 1 seni. , p. 31-31, 2-74, , 637-640; CLXll, 1 sem. 1916, p. 332-334, 424-426).— Voir aussile Compte rendu ...Société Géologique de Finance, 22 mai 1
Annales de géographie . -graphique 191.^ 191-,, n° 1100 . 2. En pré.senlanl celle étude, je tiens à adiesser à M L. Miiazkc mes remercie-inenls respectueux pour mavoir facilité dune manière si efficace mon travail surle terrain, grâce à des subventions ipiil ma fait obtenir de linstitut Géologiquede Bucarest. Jai publié mes observations géologiques dans les Cotuples émie des Sciences (CLVII, 2 scm. 19i:5, p. 347-349; CLX, 1 seni. , p. 31-31, 2-74, , 637-640; CLXll, 1 sem. 1916, p. 332-334, 424-426).— Voir aussile Compte rendu ...Société Géologique de Finance, 22 mai 1916, p. 92-04. LÉGENDE DE LA KIO. 1, CI-COXTKE. 1. Profomlnurs lio 0 à IdO™; 2. Profondours ; r>. Dcprossions 4ectoni(| ; fi. Coiirlic < do loo : 7. lorrassc <le 20ii; K. Terrasso île lOiV; î). Régions dont laliiind» estmiiiLTiiurc à 400. DE LA MKK DE MARMARA. 357. FiG. 1. — Es juisso hypsométrique ries régions voisines de la mer de Marninr;Échelle de 1 -2 500000. 358 LES RÉGIONS VOISINES Il y a un grand contraste entre les deux rivages, européen etasiatique, de la merde Marmara. Le premier est en général assez bas :excepté les deux petites chaînes du Tekir-daghet du élèvent au Nord-Ouest, tout près du littoral, à des hauteurs de 900,le rivage monte rarement plus haut que 200. La région des Dardanellesest déjà plus élevée, présentant des hauteurs de plus de 300 et, auSud, les traces dun plateau ancien de 400. On a beaucoup exagéré le peu délévation, laridité et le carac-tère de steppe de ce quon appelle en général les « Plaines de laThrace ». « Cette vaste plaine, dit Elisée Reclus, est une des contréesles plus monotones de la Turquie; des bas-fonds marécageux, desjachères y font penser aux steppes ; en été, quand le vent soulève destourbillons de poussière, on pourrait se croire au désert
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