. Bulletin biologique de la France et de la Belgique. Biology; Natural history. FiG. 6. â Extrémité anté- rieure de profil, de Mons- trilla^ sp. 5. a base de l'antenne ; h bouche. froissée. Ainsi que le dit Malâquix (1901, p. 89), ce sont très vrai- semblablement les cicatrices de l'insertion des appendices absorbants. Sur l'espèce dont il est question ici, on trouve, de chaque côté, trois de ces pro- ductions, constituées par une petite cica- trice centrale et par des stries rayonnantes (flg. 6). Les observations de Pelseneer nous apprennent, d'autre part, que chez Monstrilla helgol
. Bulletin biologique de la France et de la Belgique. Biology; Natural history. FiG. 6. â Extrémité anté- rieure de profil, de Mons- trilla^ sp. 5. a base de l'antenne ; h bouche. froissée. Ainsi que le dit Malâquix (1901, p. 89), ce sont très vrai- semblablement les cicatrices de l'insertion des appendices absorbants. Sur l'espèce dont il est question ici, on trouve, de chaque côté, trois de ces pro- ductions, constituées par une petite cica- trice centrale et par des stries rayonnantes (flg. 6). Les observations de Pelseneer nous apprennent, d'autre part, que chez Monstrilla helgolandica il y a trois paires d'appendices absorbants, groupées, par rapport à la bouche (v. pi. III fig. 5), à peu près comme sur la fig. 6. Nous sommes donc tentés de supposer que la présente espèce avait trois paires d'appen- dicos absorbants à la phase parasitaire, ce qui la rapprocherait encore des Monstrilla. ]viâles. â Des trois espèces trouvées, deux appartiennent au genre Thaumaleus. Elles n'ont aucun rudiment de 5® patte thora- cique et offrent deux anneaux entre le segment génital et la furca (fig. 7, I-II). On les dis- tingue aisément par le nombre des soies furcales (3 chez l'une et 4 chez l'autre) et par la forme et les dimensions des appendices du segment génital, comme le montre la figure 7. Ceux-ci sont beaucoup plus longs sur l'espèce possédant quatre soies furcales (fig. 7, II). La troisième espèce de mâle, est sans doute du genre Mons- trilla (fig. 7, III), car il y a trois anneaux entre le segment génital et la furca, et celle-ci porte 5 soies. Toutefois il n'y a pas trace de 5* patte thoracique. Ces quelques indications sur les Monstrillides libres du plancton de l'anse St-Martin, laissent supposer qu'il y a, dans le voisinage, des cas de parasitisme qui restent encore à Fig. 7. â Profil de l'abdomen des mâles de 3 Monstrillides trouvés dans le plancton de l'anse
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