. Histoire naturelle des oiseaux : suivant a classification de Isidore Geoffroy-Saint-Hilaire ; avec l'indication de leurs moeurs et de leurs rapports avec les arts, le commerce et l'agriculture . est une dépendance de laiipareilhyoïdien, non visible chez les autres Psittacidés. Cette langue, ainsi réduite aux plus petitesdimensions, ne perd rien de son efficacité connue organe du goût. Les Oiseaux (|ui en sont[lourvus émiettent tout ce quon leur donne, et recueillent chaque parcelle sur le centre decette langue, qui prend alors la forme dun cueilleron, évidemment pour eu percevoir lasaveur. I
. Histoire naturelle des oiseaux : suivant a classification de Isidore Geoffroy-Saint-Hilaire ; avec l'indication de leurs moeurs et de leurs rapports avec les arts, le commerce et l'agriculture . est une dépendance de laiipareilhyoïdien, non visible chez les autres Psittacidés. Cette langue, ainsi réduite aux plus petitesdimensions, ne perd rien de son efficacité connue organe du goût. Les Oiseaux (|ui en sont[lourvus émiettent tout ce quon leur donne, et recueillent chaque parcelle sur le centre decette langue, qui prend alors la forme dun cueilleron, évidemment pour eu percevoir lasaveur. Ils brisent, comme les autres Perroquets, sans aucune difficulté, les noix, noisettes,et toutes espèces île noyaux, mais navalent les amandes quaprès les avoir grugées et avoirporté lextrémité de leur langue sur chaque partie détachée, en la saisissant au moyen ducreux qui termine cet organe, et dont les bords sont susceptibles de souvrir et de se res-serrer à volonté. Il Le MiciiooLossii inoiii {Micrufjlossumalerriiimni, de Lesson ; Psittacus ater et atarrimiis,lie Gmelin) habite la Nouvelle-Guinée; son plumage; est en entier noir bleu; la peau nuo est (H) lASSEnEAUX Z^(i()l» VCTVLES. FAMILLE DES RAMP1IASTIDË8 ( Genre RA IUPHASTOS, de Linn é. ) (>AKACTEliE.— Bec (jrand, rellulaire; lançiue barbelée sur ses bonis, comme une plume;les deux doigts uutérieurs soudés jusfjuà leur tnilieu. SYNOPSIS DES (JKMVES DK LA lAMILLE DES « A M P 11ASTIDÉS. flec éiiurnu T o u c a m. Bec irès-grand : A n ac; a u i. Pleroglvssiw. CiENRE TOUCAN, Rarnphnstos, de Linné. (Le nom de Toucan est la traduction du mollucà, par lequel ces Oiseaux sont désignés au Brésil ; celui de liamphaslos a été forgé |iarLinné, par extension du mot fiâacpoç, bec.) Lu bec est plus long que la tète, très-grand, très-é|)ais, remarquable par son énorme développement, garni à sa base dune peau nue, spon-gieux ou celluleux en dedans; la
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