. Annales de l'Institut Pasteur. e au bout dune demi-heure, elle est faible aubout de 2 à 5 heures, et elle ne saccuse nettement quaprès 18h 24 heures. M. Borrel na vu de grands leucocytes mononu-cléaires que dès la fin de la 2e journée, tandis que nous avonsremarqué leur présence dès le début de la réaction, mais ilsétaient très rares et nous ne les avons jamais vus englobantdes bacilles pendant les 2 premiers jours. Recherches sur le bacille humain. — Nous avons inoculé demême avec le bacille humain une série de 20 pigeons, et nousavons répété les expériences qui précèdent. Au bout dune demi
. Annales de l'Institut Pasteur. e au bout dune demi-heure, elle est faible aubout de 2 à 5 heures, et elle ne saccuse nettement quaprès 18h 24 heures. M. Borrel na vu de grands leucocytes mononu-cléaires que dès la fin de la 2e journée, tandis que nous avonsremarqué leur présence dès le début de la réaction, mais ilsétaient très rares et nous ne les avons jamais vus englobantdes bacilles pendant les 2 premiers jours. Recherches sur le bacille humain. — Nous avons inoculé demême avec le bacille humain une série de 20 pigeons, et nousavons répété les expériences qui précèdent. Au bout dune demi-heure, on constate une grande quantitéde bacilles libres, beaucoup de leucocytes polynucléaires et demononucléaires. La phagocytose est nulle, mais on remarqueune tendance du côté des leucocytes mononucléaires à entourerles groupes des bacilles. Au bout de 2, o et 18 heures, mêmes phénomènes. Après24 heures, on trouve des bacilles libres, des leucocytes polynu- 432 ANNALES DK LINSTITUT Fig. 4. — Une série de cellules géantes a, b, c, d, au bout, de 24 heures chezle pigeon inoculé avec bacille humain (frottis).
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